Macky, va à l’assaut de la Grande Banlieue pour des Conseils de ministres décentralisés. D’autres conseils décentralisés, devrait-on dire. Au vu du grand désert qui recouvre les nombreuses promesses faites à autant de localités, l’on est en droit de se demander si le promoteur en chef du Programme Sénégal Emergent ne fait pas dans la provocation.
C’est bien malheureux de l’affirmer ainsi, mais jusqu’à preuve du contraire, l’équipe gouvernementale porteuse des conseils de ministres décentralisés présente l’image d’un régime démagogique. Elle n’est pas seulement coupable de contre-vérités ; elle est aussi et surtout coupable de se jouer d’une fausse naïveté populaire qui produira nécessairement un effet de boomerang.
La moitié de la population du Sénégal est encore assise sur un banc public sur ordre du « Macky » attendant la mise en forme de merveilles trop étincelantes sorties d’une boîte à illusions. Demain, il compte reprendre le chapelet d’utopies, par le même bout, avec la même affligeante désinvolture, et il répétera les mêmes litanies, tout en ayant conscience que tant de miroitements iront encore s’ensevelir dans un triste cimetière déjà peuplé de projections inabouties.
Il est temps à vrai dire que ceux-là même qui ont eu l’outrecuidance d’entraîner le chef de l’Etat dans ce tourbillon démagogique se ressaisissent et soient assez honnêtes pour reconnaître que l’idée qu’ils ont donnée au chef est un cimetière où il court le risque d’avoir un enterrement de première classe. Le peuple sénégalais vit aujourd’hui avec le sentiment qu’on cherche à le pétrifier dans un mensonge politiquement inavouable. Pourtant, il faut être totalement inepte pour penser qu’il manque d’intelligence ou qu’il est inapte aux sursauts d’orgueil. Il sait en vérité avancer dans la douleur, réfléchissant dans un grand silence de lion blessé sur le châtiment à réserver à ses tortionnaires gratuits.
Le Président Macky Sall s’es trop laissé entraîner dans une espèce de diversion machiavélique au milieu d’un troupeau assoiffée, affamée et qui a cru en toute sincérité voir en lui un Pasteur dégoulinant de panacées. Il est grand temps qu’il prenne son courage à deux mains pour reconnaître les limites objectives de son principe de conseils de ministres décentralisés auréolés de mirages. Un vieil adage nous apprend que « qui trop étreint mal embrasse ». C’est une habitude que tout bon manager devrait éviter de contracter au risque de s’affaler sous le poids de ses propres prétentions.
Les promesses du « Macky » sentent aujourd’hui de loin l’odeur de compromissions. Et le réveil risque d’être très lourd puisque le contrat de confiance a été volontairement rompu du côté du sommet à coups d’esquives qui ne disent pas leur nom.
Napoléon disait qu’ « on ne dirige un peuple qu’en lui montrant un avenir » Et, d’ajouter: « un chef, c’est un marchand d’espérances ». C’est tellement beau, ce trait d’esprit de l’inénarrable roi français. Mais il ne doit point s’agir seulement d’indiquer un avenir à un peuple. Il faut aussi que le chef soit soucieux de donner un sens aux formes confuses de la direction.
Que vaudra la parole de Macky si jamais il en arrivait à ne guère respecter les nombreuses promesses qu’il a faites à longueur de mandat ? Dans le domaine politique, une telle évidence n’est ni plus ni moins qu’une infamie.
Monsieur le Président, vous êtes au fond du trou que vous avez-vous-même creusé sur la base certes d’une si bonne intention, et avec certainement la complicité de vos fieffés collaborateurs. Mais l’abîme n’est pas encore trop grand pour que vous soyez irrécupérable. Cessez donc de promettre, monsieur le Président, et pressez-vous de vous repentir d’avoir déjà trop promis sans donner quelque lueur pouvant laisser penser que vous tiendrez vos promesses.
Que Dieu vous préserve et vous garde. Monsieur le président.
Idrissa ou Hermes est l’homme du quatrième ciel. C’est en ce lieu céleste qu’il est domicilié. Certains l’appellent Ahno, d’autres Hénoch ou encore Idriss, selon l’appellation coranique. Son avènement constitue le quatrième événement marquant de l’histoire civilisatrice et de la longue marche entre le Destin et la Destination. Après Adan qui est parti du monde de la sublimation vers celui du pardon il y a eu l’histoire d’Abel et de Caïn dont l’épilogue est connu pour être le premier homicide. Ensuite, celle de Chissa qui avait jeté les bases de la société primitive avec un véritable paradis terrestre où tout était à la portée de tout le monde, sans la moindre dispute ou contestation. La vie d’Idriss ou Hermès est, pour certains, à placer après le déluge. Pour d’autres sources, il a vécu aussitôt après Chissa, le fils d’Adan. Sa longévité lui permît de vivre longtemps auprès de ce dernier (certains avancent même 120 ans de compagnonnage). Ces dernières sources considérant qu’Idriss est le fils de Yéred, fils de Mahalaléel, fils de Hainan, fils d’Anoush, fils de Chissa, fils d’Adan. Sa vie est enveloppée d’un manteau de mystère et a donné lieu à plusieurs versions et interprétations.
Il est dit qu’à l’origine, il était établi à Babel, en Mésopotamie qui est aussi perçu comme l’origine du Jardin céleste et le début du carré des Messagers qui enveloppaient les deux rives menant du Tigre au Nil en passant par l’Euphrate. Cette partie du monde qui est considérée dans les écrits saints comme la terre promise, abrite depuis la nuit des temps de nombreux conflits qui ont traversé les époques. Une terre qui a toujours attisé les convoitises de différents et nombreux peuples qui en ont revendiqué la légitimité. Avec la fameuse Tour de Babel qui marque un retour à la case de départ, symbolisant un éternel recommencement. Ce territoire englobe une bonne partie de l’Afrique et de l’Asie est également vue comme la porte de l’Europe. Pour d’autres, les origines de Hermès ne sont pas à chercher en dehors de l’Egypte qui est aussi considéré comme un berceau de l’humanité avec son fleuve qui traverse pratiquement le continent noir et ce depuis la création. Dans tous les cas, on retiendra qu’Idriss ou Hermès a fini sa vie en terre égyptienne. Il est perçu comme étant le premier à avoir utilisé l’écriture. Celle-ci se faisait à travers des signes identifiés, de nos jours, sous formes de pointillés tracés sur le sable, tel que utilisés maintenant par certains devins.
Hermès ou Idriss était un homme particulier. En plus de sa sagesse légendaire qui lui recommandait souvent d’opter pour le silence, celui qui est perçu comme le premier tailleur de l’histoire faisait preuve d’une généreuse hospitalité envers visiteurs ou autres passants. Une réputation qui lui a valu une montée vers les cieux symbolisant la voie menant à l’élévation. Cela constituait également un enseignement important voire capital de son message. Pour rendre la vie beaucoup plus perfectible, faisant une jonction entre l’axe du bien qui avait réuni au début Adan et les Anges dans leur combat face aux diables et aux démons qui se sont, contrairement à lui, singularisés dans l’inhospitalité et la réserve dans un monde de féodalité fait de chantage et de mensonges. Idriss ou Hermès a été aussi le premier à organiser une société hiérarchisée avec trois pouvoirs assez distincts. D’abord il y avait les hommes religieux disposant d’un certain savoir. Leur position devait intervenir en dernier lieu et faisait souvent office de décision finale. Ces hommes n’étaient consultés que pour trancher. Ensuite vient le pouvoir des aristocrates. Ceux-ci sont les nobles, bien éduqués, bien formés et assez éloignés des querelles et autres bassesses. Et en troisième position, viennent les citoyens, le bas peuple. Ce système exporté a été répandu chez les gréco-romains et va inspirer les philosophes dans leur quête du savoir et de l’idéal. Un triptyque qui, prolongeant avec les trois pouvoirs exécutif, législatif et judiciaire, exclut le rôle de régulateur social qui était conçu comme le socle et pas comme un accessoire.
Au début, le Message était axé sur des prêches faits d’alertes qui tournaient essentiellement autour de l’unité et de l’unicité. De même, il se basait sur l’éducation et la formation pour parvenir à une maitrise de soi et une transcendance des bassesses. Comme principale caractéristique, il avait aussi le don de soi, évitant ainsi de faire place aux caprices et aux passions. Une vie axée sur une quête effrénée devant mener à idéal. Un comportement qui finit par promouvoir une élévation. Ainsi, Idriss, qualifié de véridique, fut élevé et désigné comme un Messager convaincu (Coran, chapitre 19, versets 55 et 56). Exalté par des anges, Idriss migra vers le quatrième ciel où il élut domicile, parmi les plus sublimes. De la société primitive, l’histoire prenais un nouvel élan avec l’écriture mais également avec la hiérarchisation de la société. Celle-ci donnait une importance capitale à l’éducation et à la formation. Pour ainsi mettre sur pied les fondations d’une société de quiétude et de prospérité qui prolonge celle de la société primitive faite de stabilité et de sécurité. Pour qu’enfin, l’être puisse vivre selon la volonté divine, suivant l’orientation du Maître absolu. Celle-ci mettait en exergue des recommandations et des interdits basés sur la liberté et la responsabilité des uns et des autres. Encadré par un système hiérarchisé qui donne à tout un chacun une place bien déterminée et des rôles clairement définis. Mais, cet idéal survivra-t-il ?
A lire chaque vendredi
Par Sidy Lamine NIASS
afriquemidi.com
Les foucades et les indélicatesses du député exaspèrent, ses actes énervent et dressent les amis de Macky Sall, au point que, de Podor à Bakel, partout dans le Fouta, la question qui se pose le plus est la suivante : pour qui donc travaille Farba Ngom ? L’interrogation provient de ce que les actes que le bonhomme se complait de poser humiliant des chefs religieux, cassant des cadres du parti, écrasant des militants de première heure, ont fini de susciter des réactions hostiles au Président Macky Sall.
De 2012 à maintenant, à travers les élections législatives, puis les locales de 2014, mais aussi le référendum de 2016, chaque échéance aura été une opportunité pour Farba Ngom de promouvoir les transhumants, casser les cadres de l’APR, installer ses affidés, à coups de mallettes d’argent, et en évoquant, chaque fois, des instructions qu’ils auraient reçu de Macky Sall lui-même. Résultat des courses : le Conseil départemental de Matam est aujourd’hui dirigé par un Président et un Vice-Président qui sont tous les deux des transhumants, et ce n’est pas la seule incongruité installée par Farba Ngom.
Dans le Matam, les observateurs se plaisent de plus en plus à faire remarquer que le Président Macky Sall a fait beaucoup moins que le Président Wade, dans la promotion des cadres de la région, ceux qui sont aujourd’hui aux affaires étant pour beaucoup des éléments qui avaient été nommés par l’ancien régime. Aujourd’hui, celui qui siège au gouvernement au titre de Matam y a été nommé sur décision de Farba Ngom, comme il s’est gaussé de le clamer, l’intéressé l’ayant lui-même confirmé en se présentant dans une réunion «en qualité de représentant du député Farba Ngom» comme il l’a dit, sans ciller ! Un à un, tous les cadres de l’APR qui refusent de se coucher devant l’arrogance et le pouvoir de l’argent du bonhomme en sont pour leur frais : ils sont étouffés et combattus par les manœuvres du député. Et, dans le combat qui leur est mené, ils ne peuvent espérer aucun arbitrage du parti. Les autres, ceux dont la servilité leur permet d’avoir une échine souple pour se courber devant Farba Ngom vivent d’espoir entretenu par des audiences avec le Président Macky Sall, et la promotion des affidés du député.
Du haut de sa toute puissance, Farba Ngom a fini de transformer son salon dakarois en antichambre de la salle du Conseil des ministres, l’importance des uns et des autres se mesurant à l’aune de leur proximité avec ce député qui se dit tellement riche qu’il redistribue ses émoluments de parlementaire. Ses relations d’affaires, avec les milieux sulfureux du business, ne relèvent plus de secret. A force de faire nommer des Dg et des ministres, dégommer des responsables dont le tort est de soutenir le Président Sall, l’inénarrable député a fini de se convaincre de son pouvoir et de son impunité.
Sa richesse subite est étalée sans vergogne : il se déplace, non pas seulement avec des mallettes, mais avec des malles de voitures remplies d’argent qui lui permet de tenir des fonctionnaires locaux et de dérouler ses plans machiavéliques. Les actes de vexations de cadres et militants de la première heure de l’APR se multiplient, l’inertie de ce parti devant de tels faits suscite la perplexité, des dignitaires de la région sont frustrés, les interrogations se multiplient, des piliers du combat de Macky Sall sont combattus, de nouveaux venus sont financés et motivés pour les déstabiliser… l’intouchable député continue de dérouler ses plans, au bénéfice exclusif de ses intérêts qui ne sont pas ceux du Président de l’APR. Ses nouveaux amis dont la légitimité dans l’APR passe par leur proximité avec Farba Ngom lui servent de bouclier dans son combat contre les compagnons historiques de Macky Sall qui le gênent en ce qu’ils ne lui doivent rien.
L’onde de choc contre cet état de fait est parti de grandes notabilités de Thilogne, à l’occasion du mois de l’observation du Ramadan, et c’est-là un grand symbole. Dans l’imaginaire de cette partie du pays, il se dit que la localité de Thilogne, connue pour ses grands dignitaires, ses Almamy et ses figures religieuses tutélaires est le pivot du Fouta.
MOCTAR FALL
MILITANT DE L’APR MATAM
Idy le courtaud, le tortueux, le hideux est d’une ingratitude manifeste. Il nourrit une haine viscérale et une jalousie morbide envers le Président Macky Sall. Il faudra le comprendre car ayant échoué lamentablement partout où le Président Macky Sall a réussi.
Isolé sur la scène politique, en régression constante d’une élection à une autre, Idy s’énerve et verse dans l’injure publique. Mais il n’aura jamais l’honneur d’une réaction quelconque du Président Sall connu par sa courtoisie, sa tempérance, son sérieux et son respect envers les anciens.
Idy est très mal placé pour parler de dignité, d’honneur et de compétence. Quatre années durant avec les pleins pouvoirs, quel bilan peut il se prévaloir en dehors de ses intrigues, coups bas pour briser des carrières et sournoisement comploter contre le Président Wade qu’il a d’ailleurs traité d’ «anciens spermatozoïde et futur cadavre » et l’assassinat du guide religieux Khadim Bousso. Ce promoteur incontesté et incontestable des écoutes téléphoniques doit édifier l’opinion sur ce crime odieux.
Si incompétence signifie amener le taux de croissance économique à 7% en 2016 alors qu’il était à 1,3% en 2012, nous préférons de loin le Président Macky à Idrissa Seck ;
Si incompétent signifie faire des réalisations concrètes en seulement quatre années de magistère contrairement à ce cadavre politique ambulant qui passait tout son temps à vociférer, nous préférons de loin le Président Macky Sall à Idy. L’incompétence n’est pas Président de la République.
L’incompétence, le reniement de la parole se nomme Seck. Il doit aussi savoir que la boulimie du pouvoir rend fou. Ce malade mental doit consulter les psychiatres.
Adama Fall responsable politique à la Médina
Coordonateur communal du réseau des enseignants de l’APR de la Médina
Membre du bureau national du Réseau des enseignants de l’APR
Comme il fallait s'y attendre, la réplique ne s'est pas fait attendre suite à la retentissante sortie médiatique du chef de file du parti "Rewmi". L'une des pièces maitresses de la cellule de communication de la Présidence de la République n'a pas sourcillé à tremper sa plume dans du vitriol. Mamadou Thiam, puisqu'il s'agit de lui, n'a pas raté, du tout alors Idrissa Seck. Ci dessous, dakarposte.com publie in extenso la réplique écrite de M. Thiam!
Idrissa Sec a tout à gagner en écoutant et en appliquant, à la lettre, les conseils gratuits de son jeune Maire. Car, voilà un monsieur qui n’arrive jamais à tirer les leçons de ses multiples échecs. Ce qui reviendrait, pour un bon manager, avisé et sincère, à évaluer ses résultats à la lumière de ses actions et à impulser des mesures d’amélioration.
Mais, comme Idy n’écoute que Idy, monsieur Sec préfère ignorer la démarche du manager avisé et sincère, sans doute trop lourde pour ses frêles épaules, pour faire sienne cette sagesse populaire, peu adaptée à la posture d’un aspirant homme d’Etat, et selon laquelle « ku woddoo lamin, boo noppé, rafflé » ! Maxime qui signifie, en substance, que celui qui se nourrit de la parole considère le silence comme une misère !
En effet, à chaque fois que Monsieur Idrissa Seck s’est trouvé face à des difficultés, il s’est réfugié derrière la parole et s’est mis à seriner, de manière presque pathologique, non des critiques, mais des cris, non des idées, mais plutôt des jugements de valeurs, non des projets, mais des petitesses qui frisent l’insulte.
Nul besoin de revenir sur ses propos orduriers et scatologique destinés à Abdoulaye Wade. Nulle nécessité de rappeler les mots fous qu’il destine au Président Macky Sall.
Paradoxalement, la constance de la parole scatologique n’a de pendant, chez Idrissa Sec, que la perpétuation de l’échec. Echec aux présidentielles de 2007 et de 2012, échec aux différentes législatives ; échec au référendum et échec à la Mairie de Thiès avec un Talla Sylla préférant jurer fidélité aux thiessois plutôt qu’à un intermittent du spectacle.
Une approche factuelle, réfléchie et méthodique devrait inciter Idrissa Seck à changer sa démarche pour enfin espérer autre chose que ces échecs qui ne cessent de s’amonceler sur son chemin depuis 2004.
Mais Idrissa est incapable de changer. Il a choisi de rester lui-même : un homme au parcours sec et parsemé d’échecs, incapable de propositions fécondantes et toujours apte à l’injure stérile et sans aucune valeur ajoutée.
Appelons alors par le prénom qu’il s’est choisi : Idrissa Echecs Sec !
Mamadou Thiam
mamadouthiam@hotmail.com
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