La superstar de la gymnastique, Simone Biles, est de retour. À 27 ans, la Texane compte désormais cinq couronnes olympiques à son immense palmarès, et ce n'est peut-être pas fini. Dans ces JO 2024, elle est encore qualifiée pour quatre des cinq finales individuelles, à l'exception de celle des barres asymétriques.
Il y a trois ans à Tokyo, c'est précisément pendant la finale du concours général par équipes que les JO 2021 avaient tourné au cauchemar pour Biles. Elle avait abandonné soudainement, après seulement un saut, avant d'expliquer lutter contre des « twisties », des pertes de repères dans l'espace dangereuses pour les gymnastes. Néanmoins médaillée d'argent avec les États-Unis, elle n'avait plus participé ensuite qu'à la finale de la poutre, en fin de compétition, où elle avait arraché une médaille de bronze.
Simone Biles n'était revenue à la compétition que deux ans plus tard, à l'été 2023 aux États-Unis, à l'automne suivant sur la scène internationale, avec un épatant quadruplé aux Mondiaux à Anvers (Belgique).
Un palmarès inégalé et qui pourrait encore grossir
Dans l'Arena Bercy ce mardi 30 juillet en début de soirée, Biles, mollet gauche toujours bandé, justaucorps aux couleurs américaines à paillettes, a réenchanté son histoire olympique en se parant d'or avec ses coéquipières Jordan Chiles et Sunisa Lee, devant un parterre de stars, de la légende de la gym Nadia Comaneci à celle du tennis Serena Williams, en passant par Nicole Kidman, Spike Lee ou encore Bill Gates.
Avec un total de 171,296 points, les Américaines ont devancé l'Italie (165,494) et le Brésil de Rebeca Andrade (164,497) au concours par équipes. Ce cinquième sacre olympique de Biles est son premier depuis ses quatre de Rio il y a huit ans. Au Brésil, elle avait accumulé l'or du concours général par équipes, du concours général individuel, du sol et du saut, plus le bronze à la poutre.
Sa collection de 23 titres mondiaux et de 30 médailles mondiales, constituée entre 2013 et 2023, est inégalée. Et elle pourrait donc grossir encore très vite. Simone Biles a rendez-vous avec le concours général jeudi.
Rfi
Il y a trois ans à Tokyo, c'est précisément pendant la finale du concours général par équipes que les JO 2021 avaient tourné au cauchemar pour Biles. Elle avait abandonné soudainement, après seulement un saut, avant d'expliquer lutter contre des « twisties », des pertes de repères dans l'espace dangereuses pour les gymnastes. Néanmoins médaillée d'argent avec les États-Unis, elle n'avait plus participé ensuite qu'à la finale de la poutre, en fin de compétition, où elle avait arraché une médaille de bronze.
Simone Biles n'était revenue à la compétition que deux ans plus tard, à l'été 2023 aux États-Unis, à l'automne suivant sur la scène internationale, avec un épatant quadruplé aux Mondiaux à Anvers (Belgique).
Un palmarès inégalé et qui pourrait encore grossir
Dans l'Arena Bercy ce mardi 30 juillet en début de soirée, Biles, mollet gauche toujours bandé, justaucorps aux couleurs américaines à paillettes, a réenchanté son histoire olympique en se parant d'or avec ses coéquipières Jordan Chiles et Sunisa Lee, devant un parterre de stars, de la légende de la gym Nadia Comaneci à celle du tennis Serena Williams, en passant par Nicole Kidman, Spike Lee ou encore Bill Gates.
Avec un total de 171,296 points, les Américaines ont devancé l'Italie (165,494) et le Brésil de Rebeca Andrade (164,497) au concours par équipes. Ce cinquième sacre olympique de Biles est son premier depuis ses quatre de Rio il y a huit ans. Au Brésil, elle avait accumulé l'or du concours général par équipes, du concours général individuel, du sol et du saut, plus le bronze à la poutre.
Sa collection de 23 titres mondiaux et de 30 médailles mondiales, constituée entre 2013 et 2023, est inégalée. Et elle pourrait donc grossir encore très vite. Simone Biles a rendez-vous avec le concours général jeudi.
Rfi