Lorsqu’Idrissa Seck décryptait l’insincérité, l’impertinence et l’artificialité du dialogue supposé inclusif, il s’en fallut de peut qu’il ne s’écroulât sous maintes volées de bois vertes venues de tous les sens. Pourtant, le cours de la récente histoire politique du pays, si elle se poursuit au rythme où elle va, risque fort bien de lui donner raison. En effet, l’éventualité d’une rencontre tacite qui aurait réuni Macky Sall et son ancien mentor court vers l’évidence et se précise chaque jour davantage. Selon des sources dignes de foi, cette rencontre aurait bien eu lieu et aurait permis aux deux illustres personnalités politiques de négocier l’esquisse d’un plan de dégel (ou de « sortie de crise », pour employer un terme qu’un analyste politique comme Yoro Dia trouve impertinent et inadapté dans le contexte du Sénégal actuel).
Des sources de dakarposte.com ont éventré pour nous le fond de l’objet de ce tête-à-tête secret, et il ressort de leurs explications que le « Macky » aurait formulé le souhait ardent de se faire accompagner aux prochaines élections législatives par ceux qui, depuis près de 10 ans maintenant, incarnent le camp de ses frères ennemis. En fait, la proximité de cette échéance électorale représenterait un casse-tête, une véritable tragédie, une tâche trop noire, un signe indien si l’on veut, sur sa volonté obsédante de se faire réélire à la prochaine présidentielle. Comme contrepartie à l’acceptation d’un tel compagnonnage circonstanciel et foncièrement opportuniste, le pape du « Sopi » aurait naturellement exigé la libération de son fils, mais pas seulement. Le « Macky » se serait aussi engagé à travailler à se faire succéder (le plus légalement du monde !) par le fils du « vieux » une fois que la lourde machine électorale qu’est le PDS aura été mise à sa disposition pour les besoins de sa réélection en 2019.
Par ailleurs, pour parer à l’éventualité de tout accident électoral qui lui serait fatal, le « Macky » aurait aussi échangé avec son ancien mentor sur l’opportunité de coupler les élections législatives et celles présidentielles pour raffermir ses chances de les remporter.
L’avenir confirmera-t-il l’existence d’autant de conciliabules de haute portée politique entre ces deux grands joueurs de « cash cash » ? En tout cas, le cas échéant, il conviendrait alors d’accorder plus de crédit aux allégations du président de « Rewmi », dont une certaine frange de la population a tendance à classer les fracassantes sorties médiatiques contre l’actuel régime comme de simples agitations simiesques pour continuer à exister politiquement.
Il est vrai que l’homme en question n’est pas forcément un modèle de vertu, qu’il y a des tâches trop noires sur son Brevet de Fin d’Etudes Politiques (BFEP) ; mais afin, l’homme sait parfois opérer de très fines lectures de la météo politique et, de toute évidence, nous gagnerions tous à nous prémunir d’un parasol pour ne pas être surpris par les lourdes pluies de contre-saison qu’il annonce mordicus, la main sur le cœur, sur le landerneau de ceux qu’il présente comme des maîtres de la conspiration.
Des sources de dakarposte.com ont éventré pour nous le fond de l’objet de ce tête-à-tête secret, et il ressort de leurs explications que le « Macky » aurait formulé le souhait ardent de se faire accompagner aux prochaines élections législatives par ceux qui, depuis près de 10 ans maintenant, incarnent le camp de ses frères ennemis. En fait, la proximité de cette échéance électorale représenterait un casse-tête, une véritable tragédie, une tâche trop noire, un signe indien si l’on veut, sur sa volonté obsédante de se faire réélire à la prochaine présidentielle. Comme contrepartie à l’acceptation d’un tel compagnonnage circonstanciel et foncièrement opportuniste, le pape du « Sopi » aurait naturellement exigé la libération de son fils, mais pas seulement. Le « Macky » se serait aussi engagé à travailler à se faire succéder (le plus légalement du monde !) par le fils du « vieux » une fois que la lourde machine électorale qu’est le PDS aura été mise à sa disposition pour les besoins de sa réélection en 2019.
Par ailleurs, pour parer à l’éventualité de tout accident électoral qui lui serait fatal, le « Macky » aurait aussi échangé avec son ancien mentor sur l’opportunité de coupler les élections législatives et celles présidentielles pour raffermir ses chances de les remporter.
L’avenir confirmera-t-il l’existence d’autant de conciliabules de haute portée politique entre ces deux grands joueurs de « cash cash » ? En tout cas, le cas échéant, il conviendrait alors d’accorder plus de crédit aux allégations du président de « Rewmi », dont une certaine frange de la population a tendance à classer les fracassantes sorties médiatiques contre l’actuel régime comme de simples agitations simiesques pour continuer à exister politiquement.
Il est vrai que l’homme en question n’est pas forcément un modèle de vertu, qu’il y a des tâches trop noires sur son Brevet de Fin d’Etudes Politiques (BFEP) ; mais afin, l’homme sait parfois opérer de très fines lectures de la météo politique et, de toute évidence, nous gagnerions tous à nous prémunir d’un parasol pour ne pas être surpris par les lourdes pluies de contre-saison qu’il annonce mordicus, la main sur le cœur, sur le landerneau de ceux qu’il présente comme des maîtres de la conspiration.