Si les autorités ont pris très au sérieux cette affaire, c’est qu’en réalité, il y a eu deux coups de fil. Dans un premier temps, l’individu a appelé sur le standard de cet hôtel de la Corniche Est dakaroise pour annoncer y avoir planqué une bombe. Ensuite, il est revenu à la charge pour jurer avoir déjà installé d’autres bombes dans des lieux publics, sans plus de précisions. Selon les informations du journal, les personnes interpellées se nomment Absa Oumar Souaré et Galoya Bâ.
En dehors des Sms évoqués par Libération, les enquêteurs ont pu glaner des indices graves et concordants contre Absa Oumar Souaré et Galoya Bâ. En effet, la police avait reçu un coup de fil d’une tierce personne annonçant qu’elle connaissait l’identité de l’auteur du canular. C’est en travaillant sur le numéro, auteur de cet appel, que les enquêteurs ont interpellé Absa Oumar Souaré.
Cueillie, cette dernière a déclaré que l’appareil ainsi que la puce lui ont été… offerts par une personne qu’elle avait rencontrée au cours d’un voyage. Mieux, elle ajoute que cette personne lui a fait ce cadeau parce qu’elle lui a rendu service !
En exploitant les Sms de Absa Oumar Souaré, les enquêteurs découvrent, cependant, qu’elle avait envoyé un message à Galoya Bâ pour le menacer au cas où il ne verserait pas « l’autre partie » de l’argent.
Arrêtée, Galoya Bâ a reconnu connaître le concerné mais jure qu’il n’est pas mêlé à l’affaire. Quant à Absa Oumar Souaré, elle reviendra à la charge pour dire qu’elle avait laissé son téléphone avec d’autres personnes au bureau de son oncle à l’hôpital Principal. Pour elle, c’est peut-être en ce moment que quelqu’un a voulu lui jouer une mauvaise blague. Pourtant, un témoin clé, proche de Absa Oumar Souaré, confiera aux enquêteurs que c’est bien elle qui a passé le fameux coup de fil, comme l’attestent d’ailleurs plusieurs éléments techniques. Face à ce témoignage accablant, cette dernière changera encore de version. En effet, elle soutient que c’est Galoya Bâ, qu’elle disait pourtant ne pas connaître dans un premier temps, qui a appelé la police pour se venger d’elle. Car, explique Absa, Galoya Bâ voulait qu’ils sortent ensemble, ce qu’elle avait refusé parce qu’elle avait vécu une histoire amoureuse avec son cousin.
En dehors des Sms évoqués par Libération, les enquêteurs ont pu glaner des indices graves et concordants contre Absa Oumar Souaré et Galoya Bâ. En effet, la police avait reçu un coup de fil d’une tierce personne annonçant qu’elle connaissait l’identité de l’auteur du canular. C’est en travaillant sur le numéro, auteur de cet appel, que les enquêteurs ont interpellé Absa Oumar Souaré.
Cueillie, cette dernière a déclaré que l’appareil ainsi que la puce lui ont été… offerts par une personne qu’elle avait rencontrée au cours d’un voyage. Mieux, elle ajoute que cette personne lui a fait ce cadeau parce qu’elle lui a rendu service !
En exploitant les Sms de Absa Oumar Souaré, les enquêteurs découvrent, cependant, qu’elle avait envoyé un message à Galoya Bâ pour le menacer au cas où il ne verserait pas « l’autre partie » de l’argent.
Arrêtée, Galoya Bâ a reconnu connaître le concerné mais jure qu’il n’est pas mêlé à l’affaire. Quant à Absa Oumar Souaré, elle reviendra à la charge pour dire qu’elle avait laissé son téléphone avec d’autres personnes au bureau de son oncle à l’hôpital Principal. Pour elle, c’est peut-être en ce moment que quelqu’un a voulu lui jouer une mauvaise blague. Pourtant, un témoin clé, proche de Absa Oumar Souaré, confiera aux enquêteurs que c’est bien elle qui a passé le fameux coup de fil, comme l’attestent d’ailleurs plusieurs éléments techniques. Face à ce témoignage accablant, cette dernière changera encore de version. En effet, elle soutient que c’est Galoya Bâ, qu’elle disait pourtant ne pas connaître dans un premier temps, qui a appelé la police pour se venger d’elle. Car, explique Absa, Galoya Bâ voulait qu’ils sortent ensemble, ce qu’elle avait refusé parce qu’elle avait vécu une histoire amoureuse avec son cousin.