Le Directeur adjoint du groupe Safcom risque trois ans de prison ferme. Une peine requise par le Procureur. Selon Le Soleil, qui donne l’information, M. Sarr sera fixé sur son sort le 15 avril prochain, date du délibéré de son prochain.
Il lui est reproché d’avoir encaissé une créance dans le cadre d’un marché exécuté par le groupe Safcom pour le compte de l’État du Sénégal. Les fonds en cause sont estimés à 230 millions de francs CFA, destinés à l’Agent judiciaire de l’État (AJE).
Selon le mode opératoire dévoilé par la source, le mis en cause, pour réussir son coup, a d’abord créé sa propre entreprise, ensuite confectionner un faux document mentionnant que son employeur lui a cédé à créance
Arrêté le 28 mars dernier, le prévenu, âgé de 47 ans, a été attrait à la barre du Tribunal des flagrants délits ce lundi pour abus de confiance. Il a plaidé coupable avant de se confondre en excuses : « J’ai fauté. Je regrette tout ce que j’ai fait. Je présente mes excuses à M. Dione (Directeur général du groupe. »
Dans ses aveux, il a soutenu « avoir versé une partie de l’argent aux courtiers qui l’ont aidé à recouvrer les 230 millions, et remis l’autre à ses partenaires indiens qui ont disparu dans la nature. »
Son employeur s’est finalement désisté mais le maître des poursuites lui reproche de n’avoir pas respecté le paiement par moratoire auquel il s’était engagé.
seneweb
Il lui est reproché d’avoir encaissé une créance dans le cadre d’un marché exécuté par le groupe Safcom pour le compte de l’État du Sénégal. Les fonds en cause sont estimés à 230 millions de francs CFA, destinés à l’Agent judiciaire de l’État (AJE).
Selon le mode opératoire dévoilé par la source, le mis en cause, pour réussir son coup, a d’abord créé sa propre entreprise, ensuite confectionner un faux document mentionnant que son employeur lui a cédé à créance
Arrêté le 28 mars dernier, le prévenu, âgé de 47 ans, a été attrait à la barre du Tribunal des flagrants délits ce lundi pour abus de confiance. Il a plaidé coupable avant de se confondre en excuses : « J’ai fauté. Je regrette tout ce que j’ai fait. Je présente mes excuses à M. Dione (Directeur général du groupe. »
Dans ses aveux, il a soutenu « avoir versé une partie de l’argent aux courtiers qui l’ont aidé à recouvrer les 230 millions, et remis l’autre à ses partenaires indiens qui ont disparu dans la nature. »
Son employeur s’est finalement désisté mais le maître des poursuites lui reproche de n’avoir pas respecté le paiement par moratoire auquel il s’était engagé.
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