Le Secrétariat exécutif national du Parti socialiste (Ps), tenu, hier, a analysé et évalué les résultats de son dernier Bureau politique qui a été marqué par des actes violents à l’encontre des dignitaires du parti. A l’issue de la rencontre à huis clos, le secrétaire général de cette formation politique, Ousmane Tanor Dieng, et ses camarades ont décidé de se donner les moyens « légitimes et légaux » pour prendre les mesures qui, disent-ils, s’imposent face à cette situation.
Porte-parole du parti, Abdoulaye Wilane a livré la teneur des résolutions : « Nous avons, après avoir fait un constat d’huissier, décidé de porter plainte contre X parce que nous sommes dans un Etat de Droit. Et, ce qui est sûr, c’est qu’il y a voies de fait car ceux qui avaient pris d’assaut la salle n’étaient pas membres du Bureau politique. Il y a eu des coups, des blessures, des injures publiques, des menaces de mort, dégradation de biens privés, bref, énormément d’actes criminels condamnables qui ont été commis, etc. ». Selon le socialiste, il s’agit de faire en sorte que les instigateurs de ces actes et leurs complices répondent de leurs faits.
Au-delà de cette plainte, renseigne Le Quotidien, le Parti socialiste, sans citer de nom, a informé que les personnes qui ont orchestré cette violence seront écoutées par la commission de discipline conformément aux textes et règlement du parti. « Il y a une panoplie de sanctions dont chacune correspond à la gravité de la faute incriminée. Lorsqu’une affaire est pendante devant la Justice, même si vous connaissez votre criminel, vous devez respecter sa présomption d’innocence », a lancé le maire de Kaffrine qui ajoute qu’ils ont une idée claire et précise des hommes, femmes et jeunes qui avaient pris d’assaut le Bureau politique. « Nous avons des informations visuelles, sonores et des témoignages faits par des gens qui étaient avec eux, et qui sont choqués par la furie et la gravité de ce qu’ils ont voulu faire », a souligné Abdoulaye Wilane.
Porte-parole du parti, Abdoulaye Wilane a livré la teneur des résolutions : « Nous avons, après avoir fait un constat d’huissier, décidé de porter plainte contre X parce que nous sommes dans un Etat de Droit. Et, ce qui est sûr, c’est qu’il y a voies de fait car ceux qui avaient pris d’assaut la salle n’étaient pas membres du Bureau politique. Il y a eu des coups, des blessures, des injures publiques, des menaces de mort, dégradation de biens privés, bref, énormément d’actes criminels condamnables qui ont été commis, etc. ». Selon le socialiste, il s’agit de faire en sorte que les instigateurs de ces actes et leurs complices répondent de leurs faits.
Au-delà de cette plainte, renseigne Le Quotidien, le Parti socialiste, sans citer de nom, a informé que les personnes qui ont orchestré cette violence seront écoutées par la commission de discipline conformément aux textes et règlement du parti. « Il y a une panoplie de sanctions dont chacune correspond à la gravité de la faute incriminée. Lorsqu’une affaire est pendante devant la Justice, même si vous connaissez votre criminel, vous devez respecter sa présomption d’innocence », a lancé le maire de Kaffrine qui ajoute qu’ils ont une idée claire et précise des hommes, femmes et jeunes qui avaient pris d’assaut le Bureau politique. « Nous avons des informations visuelles, sonores et des témoignages faits par des gens qui étaient avec eux, et qui sont choqués par la furie et la gravité de ce qu’ils ont voulu faire », a souligné Abdoulaye Wilane.