Le 1er juillet dernier, une vidéo, mettant en scène des fillettes âgées entre 6 et 10 ans, habillées en tenues particulièrement indécentes, a été publiée sur les réseaux sociaux. Les jeunes filles participaient à un spectacle animé par des batteurs de tam-tams, dans la région de Louga.
Interpellé, le parquet près le Tribunal de Grande Instance de Louga a ordonné une enquête en vue d'élucider les circonstances de la commission de tels faits et de procéder à l'arrestation de tous les présumés auteurs. L'enquête a permis l'arrestation de 7 personnes. "Les investigations en cours, menées par le Commissaire central de Louga, ont permis l'identification des enfants concernés et l'interpellation de sept individus impliqués dans la publication des images et l'organisation du spectacle", a annoncé le Procureur de Louga dans un communiqué reçu à Seneweb.
Les personnes arrêtées seront poursuivies pour atteinte aux bonnes mœurs par les moyens d'une communication électronique, d'outrage public à la pudeur et de collecte le de données personnelles, entre autres délits.
"Les faits incriminés (...) sont d’une particulière gravité, eu égard notamment à la vulnérabilité de la couche de la société ciblée, et appellent une application rigoureuse de la loi afin d'éviter une réitération des faits délictuels et de prévenir la commission d'actes similaires", ajoute le Procureur.
seneweb
Interpellé, le parquet près le Tribunal de Grande Instance de Louga a ordonné une enquête en vue d'élucider les circonstances de la commission de tels faits et de procéder à l'arrestation de tous les présumés auteurs. L'enquête a permis l'arrestation de 7 personnes. "Les investigations en cours, menées par le Commissaire central de Louga, ont permis l'identification des enfants concernés et l'interpellation de sept individus impliqués dans la publication des images et l'organisation du spectacle", a annoncé le Procureur de Louga dans un communiqué reçu à Seneweb.
Les personnes arrêtées seront poursuivies pour atteinte aux bonnes mœurs par les moyens d'une communication électronique, d'outrage public à la pudeur et de collecte le de données personnelles, entre autres délits.
"Les faits incriminés (...) sont d’une particulière gravité, eu égard notamment à la vulnérabilité de la couche de la société ciblée, et appellent une application rigoureuse de la loi afin d'éviter une réitération des faits délictuels et de prévenir la commission d'actes similaires", ajoute le Procureur.
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