VOICI POURQUOI MACKY SALL N’ÉTAIT PAS PRÉSENT À LA CÉRÉMONIE DE « RÉINSTALLATION » DE KAFANDO
Accusé de complaisance envers les putschistes burkinabè conduits par le Général Diendéré, le Président sénégalais Macky Sall, Président en exercice de la CEDEAO pour sa première médiation, s’en souviendra pour longtemps et n’en gardera pas forcement de bon souvenirs.
Selon Jeune Afrique, l’entourage de Macky Sall revendique les grandes lignes de l’accord qui suggérait notamment la libération des « otages », la réinstallation de Kafando à son poste, le retrait de tous les militaires du gouvernement, mais aussi la réintégration des candidats proches de Compaoré dans le jeu électoral et l’amnistie des putschistes.
Sur les deux derniers points à l’origine de contestations par le bloc anti-putsch, un proche du président sénégalais s’en défend sur Jeune Afrique: « Ce sont eux qui ont proposé tout cela, pas nous ! » a-t-il juré ne comprenant pas les critiques, pas plus que l’accusation de Kafando.
Selon encore Jeune Afrique, le Président Macky Sall aurait présenté de vive voix au Président de la transition les propositions de sortie de crise. Sans lui remettre le document final en mains propres, laissant ce soin, selon un proche, « à son aide de camp », et selon d’autres sources, à Diendéré lui-même.
« Une erreur », tranche un diplomate habitué de ce genre de crises et cité par le magasine panafricain. Qu’aurait-il dû faire ? Toujours est-il qu’il n’était pas présent à la cérémonie de « réinstallation » de Kafando, le 23 septembre dernier »pour des raisons de calendrier » a indiqué son entourage.
Selon Jeune Afrique, l’entourage de Macky Sall revendique les grandes lignes de l’accord qui suggérait notamment la libération des « otages », la réinstallation de Kafando à son poste, le retrait de tous les militaires du gouvernement, mais aussi la réintégration des candidats proches de Compaoré dans le jeu électoral et l’amnistie des putschistes.
Sur les deux derniers points à l’origine de contestations par le bloc anti-putsch, un proche du président sénégalais s’en défend sur Jeune Afrique: « Ce sont eux qui ont proposé tout cela, pas nous ! » a-t-il juré ne comprenant pas les critiques, pas plus que l’accusation de Kafando.
Selon encore Jeune Afrique, le Président Macky Sall aurait présenté de vive voix au Président de la transition les propositions de sortie de crise. Sans lui remettre le document final en mains propres, laissant ce soin, selon un proche, « à son aide de camp », et selon d’autres sources, à Diendéré lui-même.
« Une erreur », tranche un diplomate habitué de ce genre de crises et cité par le magasine panafricain. Qu’aurait-il dû faire ? Toujours est-il qu’il n’était pas présent à la cérémonie de « réinstallation » de Kafando, le 23 septembre dernier »pour des raisons de calendrier » a indiqué son entourage.
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