Tout est parti d'une transaction entre client et fournisseur qui a mal tourné. Selon le plaignant, un certain Aliou Diatta, il avait noué des relations d'affaires, précisément commerciales avec le sieur Samba Thiam. Ce dernier a eu à lui livrer dans le cadre de l'organisation du Conseil National de la Jeunesse divers matériels pour une valeur d'un million et poussières. Précisément, 1.297.000 cfa), payable en 30 jours.
Quelques jours passent, il lui fait une autre commande dont l'ardoise est plus salée. Pour cette fois-ci, la facture est alors arrêtée à la somme de 6.650.000 cfa en divers articles, dont des consommables informatiques. Vu que la commande est un peu salé, le fournisseur lui demande alors une avance de 2.500.000 cfa.
Selon le plaignant, Samba Thiam lui a alors filé un chèque qui est revenu impayé. Las des relances, il finit alors par porter plainte et réclame l'intégralité de son du.
Quid du Conseil National de la Jeunesse cité dans cette affaire?
Il ressort des explications de Diatta (gérant d'une entreprise dénommée Clean Office Suarl), le sieur Thiam lui a fait savoir qu'il avait gagné un marché du Conseil National de la Jeunesse. "Cet informaticien demeurant aux Hlm Nimzatt m'a alors contacté pour que je lui livre les produits qu'il devait livrer au CNJ" a laissé entendre le plaignant. Qui soutient, facture à la main, avoir livré toute la commande au CNJ et il fut convenu de commun accord que le paiement devait se faire 30 jours aprèsb livraison. Mais, depuis lors, c'est le silence radio de la part du sieur Thiam. "Non seulement, il n'a pas payé la livraison du CNJ qui est arrivé à échèance depuis des mois, mais il fait le mort sur la deuxième livraison. Et, d'après l'enquête que j'ai mené il a revendu la deuxième livraison dans le marché noir. Ce qu'on appelle dans le langage Sénégalais "Bouki". Ainsi, après plusieurs tentatives de régler l'affaire à l'amiable, j'ai décidé de porter plainte" a renchérit Aliou Diatta .
L'affaire étant encore pendante devant Dame Justice, nous vous promettons d'y revenir!
Quelques jours passent, il lui fait une autre commande dont l'ardoise est plus salée. Pour cette fois-ci, la facture est alors arrêtée à la somme de 6.650.000 cfa en divers articles, dont des consommables informatiques. Vu que la commande est un peu salé, le fournisseur lui demande alors une avance de 2.500.000 cfa.
Selon le plaignant, Samba Thiam lui a alors filé un chèque qui est revenu impayé. Las des relances, il finit alors par porter plainte et réclame l'intégralité de son du.
Quid du Conseil National de la Jeunesse cité dans cette affaire?
Il ressort des explications de Diatta (gérant d'une entreprise dénommée Clean Office Suarl), le sieur Thiam lui a fait savoir qu'il avait gagné un marché du Conseil National de la Jeunesse. "Cet informaticien demeurant aux Hlm Nimzatt m'a alors contacté pour que je lui livre les produits qu'il devait livrer au CNJ" a laissé entendre le plaignant. Qui soutient, facture à la main, avoir livré toute la commande au CNJ et il fut convenu de commun accord que le paiement devait se faire 30 jours aprèsb livraison. Mais, depuis lors, c'est le silence radio de la part du sieur Thiam. "Non seulement, il n'a pas payé la livraison du CNJ qui est arrivé à échèance depuis des mois, mais il fait le mort sur la deuxième livraison. Et, d'après l'enquête que j'ai mené il a revendu la deuxième livraison dans le marché noir. Ce qu'on appelle dans le langage Sénégalais "Bouki". Ainsi, après plusieurs tentatives de régler l'affaire à l'amiable, j'ai décidé de porter plainte" a renchérit Aliou Diatta .
L'affaire étant encore pendante devant Dame Justice, nous vous promettons d'y revenir!