Bien avant le coup d'état du 16 Juillet dernier,le Président Turc Recep T.Erdogan avait fait le tour de certains pays ouest africains où le mouvement Gulen du nom de son ennemi numéro,a des intérêts,pour demander soit la fermeture des écoles Yavuz Selim ou de succursales de Bank Asya ainsi que toute autre entreprise présumée proche de Fethalla Gulen.
C'est ainsi qu'en Gambie sans coup férir le président Yaya A. J. J. Jammeh a ordonné la fermeture de l'école Yavuz Salim au motif qu'elle serait d'obédience terroriste. Dans d'autres pays,nous risquons d'assister à la fermeture de ces écoles proches du Mouvement Gulen car, dakarposte.com tient de ses réseaux de renseignements que le président Erdogan a mis plusieurs milliards dans la balance dans le cadre du financement des projets par l'Eximbank turque.
Il nous revient d'ailleurs de nos sources que le président Macky sall aurait poliment décliné l'offre de faire fermer les écoles Yavuz Salim surtout que les enfants de l'élite actuelle y sont tous inscrits.
Mais une certaine liste remise par les services turcs à leurs homologues sénégalais commence à semer le doute dans la tête de beaucoup de gens surtout que selon les mêmes indiscrétions cette liste contiendrait les noms de citoyens turcs comme sénégalais jugés favorables au mouvement Gulen et qu'à ce titre ils sont considérés comme ennemis de la Turquie.
Pour en savoir davantage,nous avons approché des citoyens turcs résidents au Sénégal qui s'accordent à nous souffler n'avoir plus de nouvelles de leur famille en Turquie car n'osant pas appeler au risque de les mettre en danger.
Yelda (appelons-le ainsi) officiant à Yevuz Sélim depuis des années nous dit qu'elle n'ose pas aller en vacances en Turquie au risque de se faire arrêté juste parce qu'elle travaille dans cette école jugée proche de Gulen. Poussé jusque dans ses derniers retranchements, notre interlocuteur nous apprend que tout le personnel de cette école est dans la même situation.
Quant à Yilmaz qui officie pour une société de BTP turque,il nous fait la confidence suivante: "ma mère est décédée à Ankara et je devais y aller mais mon frère qui est officier dans l'armée a été arrêté et on m'a conseillé de ne pas venir car j'étais sur la fameuse liste des pro Gulen et depuis je ne peux faire mon deuil".
Cette tendance s'est remarquée sur le retard de 3 mois que va accuser la réception des travaux de l'aéroport de Diass confié à des entreprises turcs après la rupture d'avec le groupe Bin Laden.
Espérons que cette situation ne freinera pas d'autres projets financés par la Turquie quand on sait que le Président Macky Sall comptait beaucoup sur la disponibilité turque pour faire décoller son Plan Sénégal Émergent.
C'est ainsi qu'en Gambie sans coup férir le président Yaya A. J. J. Jammeh a ordonné la fermeture de l'école Yavuz Salim au motif qu'elle serait d'obédience terroriste. Dans d'autres pays,nous risquons d'assister à la fermeture de ces écoles proches du Mouvement Gulen car, dakarposte.com tient de ses réseaux de renseignements que le président Erdogan a mis plusieurs milliards dans la balance dans le cadre du financement des projets par l'Eximbank turque.
Il nous revient d'ailleurs de nos sources que le président Macky sall aurait poliment décliné l'offre de faire fermer les écoles Yavuz Salim surtout que les enfants de l'élite actuelle y sont tous inscrits.
Mais une certaine liste remise par les services turcs à leurs homologues sénégalais commence à semer le doute dans la tête de beaucoup de gens surtout que selon les mêmes indiscrétions cette liste contiendrait les noms de citoyens turcs comme sénégalais jugés favorables au mouvement Gulen et qu'à ce titre ils sont considérés comme ennemis de la Turquie.
Pour en savoir davantage,nous avons approché des citoyens turcs résidents au Sénégal qui s'accordent à nous souffler n'avoir plus de nouvelles de leur famille en Turquie car n'osant pas appeler au risque de les mettre en danger.
Yelda (appelons-le ainsi) officiant à Yevuz Sélim depuis des années nous dit qu'elle n'ose pas aller en vacances en Turquie au risque de se faire arrêté juste parce qu'elle travaille dans cette école jugée proche de Gulen. Poussé jusque dans ses derniers retranchements, notre interlocuteur nous apprend que tout le personnel de cette école est dans la même situation.
Quant à Yilmaz qui officie pour une société de BTP turque,il nous fait la confidence suivante: "ma mère est décédée à Ankara et je devais y aller mais mon frère qui est officier dans l'armée a été arrêté et on m'a conseillé de ne pas venir car j'étais sur la fameuse liste des pro Gulen et depuis je ne peux faire mon deuil".
Cette tendance s'est remarquée sur le retard de 3 mois que va accuser la réception des travaux de l'aéroport de Diass confié à des entreprises turcs après la rupture d'avec le groupe Bin Laden.
Espérons que cette situation ne freinera pas d'autres projets financés par la Turquie quand on sait que le Président Macky Sall comptait beaucoup sur la disponibilité turque pour faire décoller son Plan Sénégal Émergent.
Wait and see!