Cheikh F. a tenté d’égorger sa propre fillette de 3 ans dans sa chambre conjugale en l’absence de son épouse ; une histoire rocambolesque qui plonge tout le quartier Fass 3 de Sant Yalla de la commune de Djeddah Thiaroye Kao dans la stupeur et l’indignation totale.
Cheikh revient de la France et bascule dans la démence
Rien ne présageait pourtant une telle horreur dans le domicile de la belle-famille du sieur Cheikh F, qui y vit avec son épouse ainsi que ses deux fillettes, dont la nommée Adja F, âgée de 3 ans et demi. Cheikh est un ancien Francenabé. Il est rentré depuis longtemps au bercail et s’est reconverti dans le secteur du commerce dans le but de gagner sa vie. Il bascule cependant dans la démence et développe des troubles du comportement. Quand il disjoncte, il terrorise toute la famille, profère des menaces à tout va.
Face à ses récurrentes crises de démence, l’expatrié suspend ses activités professionnelles et subit un traitement au niveau de l’hôpital psychiatrique de Thiaroye. Où son épouse l’accompagne tout le temps pour honorer ses rendez-vous médicaux. Ainsi, hier, vers 4h du matin, Cheikh accompagne son épouse jusqu’à l’arrêt cars du coin et attend que celle-ci embarque à bord d’un véhicule de transport en commun pour se rendre à son lieu de travail. Il retourne ensuite à la maison et se retire dans sa chambre conjugale où ses deux fillettes dont Adja F. sont encore au lit.
Il disjoncte et accuse sa belle-famille de comploter pour le tuer
Soudain, vers 9h, Cheikh disjoncte à nouveau et s’agite grave dans sa chambre. Il débite des énormités à tout bout de champ et entre dans une crise de délirium tremens. Il séquestre ses deux enfants et avertit la maison en hurlant le nom d’un membre de sa belle-famille. Aussi, lâche-t-il ceci : «j’ai appris que vous étiez en train de manigancer, de comploter pour me tuer. Mais, c’est peine perdue. Autrement, si vous tentez de le faire, vous aurez deux cadavres dans la maison», répète sans cesse l’expatrié. Il reste cloîtré dans la chambre durant une trentaine de minutes.
Il cible sa fillette Adja, l’allonge au sol, plaque un couteau sous sa gorge et menace
Il s’enferme à clef avec ses deux enfants, se saisit d’un couteau et se rue sur sa fillette nommée Adja. Il la plaque au sol, pose l’arme blanche sur son cou et menace de lui trancher la gorge si quelqu’un tente d’ouvrir la porte pour intervenir. Une grosse frayeur envahit les membres de la famille. Certains se la jouent douce et s’emploient à prendre le dépressif par les sentiments. D’autres manœuvrent en catimini et tentent de défoncer par surprise la porte ; ce qui du reste est impossible en raison de la nature et de l’emplacement de la chambre, située sur la terrasse de la concession. Car, le gus est capable de voir de l’intérieur les moindres mouvements des gens.
Il commence à égorger la petite, un commando défonce la porte et le maîtrise
Alertés, les éléments de la brigade de recherche du commissariat d’arrondissement de Thiaroye débarquent en catastrophe sur les lieux et tentent de raisonner le dépressif. Ce dernier fait la sourde oreille et jure sur tous ses saints de passer à l’acte. Il plaque le couteau sous la gorge de sa fillette et met en garde les policiers. Sans succès. Il appuie davantage l’arme blanche sur le cou et commence à égorger la petite. Un commando de police défonce la porte et se jette sur le forcené. Il le désarme, l’envoie violemment au sol et le met hors d’état d’exécuter ses menaces. Il le maîtrise avec une paire de menottes et l’extirpe de la pièce.
La fille se remet de ses blessures, son papa risque la prison ou l’internement
Appelés, les sapeurs-pompiers entrent en action, embarquent la petite sur une civière et la conduisent toute sirène hurlante à l’hôpital. Celle-ci est vite prise en charge, puis admise au service des urgences. Aux dernières nouvelles, la situation de la petite est stable. Son pronostic n’est pas atteint. Son papa est placé en garde à vue. Il pourrait être présenté incessamment devant le parquet du tribunal de grande instance de Pikine/Guédiawaye. Il risque d’être poursuivi pour tentative de meurtre par arme blanche (couteau) ou d’être interné à l’hôpital psychiatrique de Thiaroye pour subir des soins.
rewmi
Cheikh revient de la France et bascule dans la démence
Rien ne présageait pourtant une telle horreur dans le domicile de la belle-famille du sieur Cheikh F, qui y vit avec son épouse ainsi que ses deux fillettes, dont la nommée Adja F, âgée de 3 ans et demi. Cheikh est un ancien Francenabé. Il est rentré depuis longtemps au bercail et s’est reconverti dans le secteur du commerce dans le but de gagner sa vie. Il bascule cependant dans la démence et développe des troubles du comportement. Quand il disjoncte, il terrorise toute la famille, profère des menaces à tout va.
Face à ses récurrentes crises de démence, l’expatrié suspend ses activités professionnelles et subit un traitement au niveau de l’hôpital psychiatrique de Thiaroye. Où son épouse l’accompagne tout le temps pour honorer ses rendez-vous médicaux. Ainsi, hier, vers 4h du matin, Cheikh accompagne son épouse jusqu’à l’arrêt cars du coin et attend que celle-ci embarque à bord d’un véhicule de transport en commun pour se rendre à son lieu de travail. Il retourne ensuite à la maison et se retire dans sa chambre conjugale où ses deux fillettes dont Adja F. sont encore au lit.
Il disjoncte et accuse sa belle-famille de comploter pour le tuer
Soudain, vers 9h, Cheikh disjoncte à nouveau et s’agite grave dans sa chambre. Il débite des énormités à tout bout de champ et entre dans une crise de délirium tremens. Il séquestre ses deux enfants et avertit la maison en hurlant le nom d’un membre de sa belle-famille. Aussi, lâche-t-il ceci : «j’ai appris que vous étiez en train de manigancer, de comploter pour me tuer. Mais, c’est peine perdue. Autrement, si vous tentez de le faire, vous aurez deux cadavres dans la maison», répète sans cesse l’expatrié. Il reste cloîtré dans la chambre durant une trentaine de minutes.
Il cible sa fillette Adja, l’allonge au sol, plaque un couteau sous sa gorge et menace
Il s’enferme à clef avec ses deux enfants, se saisit d’un couteau et se rue sur sa fillette nommée Adja. Il la plaque au sol, pose l’arme blanche sur son cou et menace de lui trancher la gorge si quelqu’un tente d’ouvrir la porte pour intervenir. Une grosse frayeur envahit les membres de la famille. Certains se la jouent douce et s’emploient à prendre le dépressif par les sentiments. D’autres manœuvrent en catimini et tentent de défoncer par surprise la porte ; ce qui du reste est impossible en raison de la nature et de l’emplacement de la chambre, située sur la terrasse de la concession. Car, le gus est capable de voir de l’intérieur les moindres mouvements des gens.
Il commence à égorger la petite, un commando défonce la porte et le maîtrise
Alertés, les éléments de la brigade de recherche du commissariat d’arrondissement de Thiaroye débarquent en catastrophe sur les lieux et tentent de raisonner le dépressif. Ce dernier fait la sourde oreille et jure sur tous ses saints de passer à l’acte. Il plaque le couteau sous la gorge de sa fillette et met en garde les policiers. Sans succès. Il appuie davantage l’arme blanche sur le cou et commence à égorger la petite. Un commando de police défonce la porte et se jette sur le forcené. Il le désarme, l’envoie violemment au sol et le met hors d’état d’exécuter ses menaces. Il le maîtrise avec une paire de menottes et l’extirpe de la pièce.
La fille se remet de ses blessures, son papa risque la prison ou l’internement
Appelés, les sapeurs-pompiers entrent en action, embarquent la petite sur une civière et la conduisent toute sirène hurlante à l’hôpital. Celle-ci est vite prise en charge, puis admise au service des urgences. Aux dernières nouvelles, la situation de la petite est stable. Son pronostic n’est pas atteint. Son papa est placé en garde à vue. Il pourrait être présenté incessamment devant le parquet du tribunal de grande instance de Pikine/Guédiawaye. Il risque d’être poursuivi pour tentative de meurtre par arme blanche (couteau) ou d’être interné à l’hôpital psychiatrique de Thiaroye pour subir des soins.
rewmi