Le Secrétaire général national du Parti socialiste envisage de céder sa place, s’il le faut, à un autre pour la conquête du pouvoir, lit-on dans L’Observateur. Il a même fait preuve d’une certaine flexibilité lors du Secrétariat exécutif national.
«Je ne suis pas éternel. Je ne ferai rien qui puisse imploser le Parti, car je gère un héritage. Si je ne peux pas conduire le Parti au pouvoir, je laisserai un autre camarade l’y conduire », a déclaré Ousmane Tanor Dieng.
Par ailleurs, au cours de la rencontre, les cadres du Parti ont affirmé qu’il faut que les camarades arrêtent les attaques par presse interposée. Et qu’ils respectent l’esprit de camaraderie qui doit prévaloir en toutes circonstances, afin de mener à bien leur médiation pour les jeunes convoqués à la Police. Ce, dans le cadre de la mise à sac du Siège du Ps, lors du Bureau politique du 5 mars 2016.
En tout cas, ce discours du patron des Verts de Colobane contraste d’avec son vocabulaire va-t-en-guerre qu’il n’a de cesse utilisé, depuis quelque temps, dans le cadre de sa brouille avec une partie de ses camarades, notamment le maire de Dakar, Khalifa Sall, ses collègues Bamba Fall et Barthélemy Dias.
Actusen.com
«Je ne suis pas éternel. Je ne ferai rien qui puisse imploser le Parti, car je gère un héritage. Si je ne peux pas conduire le Parti au pouvoir, je laisserai un autre camarade l’y conduire », a déclaré Ousmane Tanor Dieng.
Par ailleurs, au cours de la rencontre, les cadres du Parti ont affirmé qu’il faut que les camarades arrêtent les attaques par presse interposée. Et qu’ils respectent l’esprit de camaraderie qui doit prévaloir en toutes circonstances, afin de mener à bien leur médiation pour les jeunes convoqués à la Police. Ce, dans le cadre de la mise à sac du Siège du Ps, lors du Bureau politique du 5 mars 2016.
En tout cas, ce discours du patron des Verts de Colobane contraste d’avec son vocabulaire va-t-en-guerre qu’il n’a de cesse utilisé, depuis quelque temps, dans le cadre de sa brouille avec une partie de ses camarades, notamment le maire de Dakar, Khalifa Sall, ses collègues Bamba Fall et Barthélemy Dias.
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