’’La conscience universelle doit nous amener à traiter la riposte au terrorisme de la façon la plus appropriée. Une riposte qui doit nous éloigner de la stigmatisation. Nous devons comprendre que les premières victimes du terrorisme sont les musulmans. Il faut éviter les amalgames. Ce n’est pas l’islam qui est en jeu. La réponse face au terrorisme n’est pas certainement pas d’exacerber le choc des civilisations ou le choc des religions", avait déclaré le chef de l’Etat sénégalais, le 12 septembre 2016, à l’occasion de la célébration de l’Aïd el Kébir.
Invité par Jeune Afrique à réagir sur ces propos de Macky Sall, M. Valls a déclaré : "(…) c’est ce que je répète inlassablement depuis janvier 2015. Je me retrouve totalement dans les propos de Macky Sall qui est un ami et un grand dirigeant. J’ai toujours rappelé que les premières victimes du fondamentalisme étaient les musulmans".
’’C’est vrai partout dans le monde, au Moyen-Orient, en Afrique. Dans les attentats de Paris, de Nice, il y avait parmi les victimes des musulmans. Ce que cherchent les jihadistes, c’est de créer dans nos société les conditions d’une guerre civile dans laquelle les musulmans sont pris en otage, car courant le risque d’être assimilé à l’islamisme radical", a dit Manuel Valls qui s’apprête à entamer une tournée africaine qui le mènera à Dakar, Accra, Lomé et Abidjan.
’’Je le répète : la République protège et protègera les musulmans de France et je n’accepterai aucun amalgame. Il faut s’élever contre le populisme notamment d’une partie de la droite française qui alimente une confusion entre regroupement familial, immigration, réfugiés et terrorisme et donc à la fin des fin, entre musulmans et terrorisme", a ajouté le Premier ministre français.
Invité par Jeune Afrique à réagir sur ces propos de Macky Sall, M. Valls a déclaré : "(…) c’est ce que je répète inlassablement depuis janvier 2015. Je me retrouve totalement dans les propos de Macky Sall qui est un ami et un grand dirigeant. J’ai toujours rappelé que les premières victimes du fondamentalisme étaient les musulmans".
’’C’est vrai partout dans le monde, au Moyen-Orient, en Afrique. Dans les attentats de Paris, de Nice, il y avait parmi les victimes des musulmans. Ce que cherchent les jihadistes, c’est de créer dans nos société les conditions d’une guerre civile dans laquelle les musulmans sont pris en otage, car courant le risque d’être assimilé à l’islamisme radical", a dit Manuel Valls qui s’apprête à entamer une tournée africaine qui le mènera à Dakar, Accra, Lomé et Abidjan.
’’Je le répète : la République protège et protègera les musulmans de France et je n’accepterai aucun amalgame. Il faut s’élever contre le populisme notamment d’une partie de la droite française qui alimente une confusion entre regroupement familial, immigration, réfugiés et terrorisme et donc à la fin des fin, entre musulmans et terrorisme", a ajouté le Premier ministre français.