Depuis quelques jours, le Crédit mutuel du Sénégal avec les arrestations enregistrées de cadres de la boîte financière, semble être sous la menace du vent du « Jub, Jubeul Jubënti ». En réalité, il faut bien un redressement ou encore « Jubeunti » dans l’institution donc les syndicats ont pendant longtemps alerté sur les errements de hauts responsables en complicité avec certains au Fongip.
Au niveau du Fongip, il aurait été commandité un audit sur des transactions financières suite à des lettres de garantie revenant à des bénéficiaires. C’était avant la Tabaski. L’enveloppe était à 2 milliards 900 millions de francs CFA. Deux mois après la Tabaski l’enveloppe est passée à près de 7 milliards passant du simple au triple. Une étude comparative a été menée, mais le CMS n’a pas accepté, versant dans le dilatoire. Le Fongip avait demandé à voir les listes et c’est à ce niveau qu’ils se sont rendus compte qu’il y avait de fausses listes avec des cachets imités du Fongip.
Le directeur général du Cms, qui n’a jamais voulu faire de confrontation avec le Fongip, n'a pu répondre aux multiples interpellations du Fongip. Selon nos informations, le directeur de la réglementation, gendarme de la microfinance au Sénégal, Amar Seck, Directeur de la réglementation et de la supervision des systèmes financiers décentralisés (DRSSFD), était au courant de ses agissements, mais n’a pas levé le plus petit doigt.
Cette révélation est faite par la délégation mixte des organisations syndicales regroupant les deux syndicats du Crédit Mutuel du Sénégal. Sonnant l’alerte à plusieurs reprises, sans suite, ces syndicalistes interpellent leur nouveau ministre pour arbitrage. Dans la missive adressée à leur ministre de tutelle, les syndicalistes sont revenus sur les multiples dénonciations. Ils rappellent que ces initiatives avaient même motivé la venue d’une mission de vérification de la commission bancaire de l’UEMOA au mois de juillet 2021.
Dans leur note, les syndicalistes ont également mis en cause la gestion du Directeur général du CMS, Amadou Jean-Jacques Diop. Ce dernier accusé par les syndicalistes de mettre la boîte dans des difficultés financières, tout en bénéficiant « de souteneurs à un niveau insoupçonné qui sont à l’origine de la non application des recommandations effectuées par les vérificateurs. »
dakaractu
Au niveau du Fongip, il aurait été commandité un audit sur des transactions financières suite à des lettres de garantie revenant à des bénéficiaires. C’était avant la Tabaski. L’enveloppe était à 2 milliards 900 millions de francs CFA. Deux mois après la Tabaski l’enveloppe est passée à près de 7 milliards passant du simple au triple. Une étude comparative a été menée, mais le CMS n’a pas accepté, versant dans le dilatoire. Le Fongip avait demandé à voir les listes et c’est à ce niveau qu’ils se sont rendus compte qu’il y avait de fausses listes avec des cachets imités du Fongip.
Le directeur général du Cms, qui n’a jamais voulu faire de confrontation avec le Fongip, n'a pu répondre aux multiples interpellations du Fongip. Selon nos informations, le directeur de la réglementation, gendarme de la microfinance au Sénégal, Amar Seck, Directeur de la réglementation et de la supervision des systèmes financiers décentralisés (DRSSFD), était au courant de ses agissements, mais n’a pas levé le plus petit doigt.
Cette révélation est faite par la délégation mixte des organisations syndicales regroupant les deux syndicats du Crédit Mutuel du Sénégal. Sonnant l’alerte à plusieurs reprises, sans suite, ces syndicalistes interpellent leur nouveau ministre pour arbitrage. Dans la missive adressée à leur ministre de tutelle, les syndicalistes sont revenus sur les multiples dénonciations. Ils rappellent que ces initiatives avaient même motivé la venue d’une mission de vérification de la commission bancaire de l’UEMOA au mois de juillet 2021.
Dans leur note, les syndicalistes ont également mis en cause la gestion du Directeur général du CMS, Amadou Jean-Jacques Diop. Ce dernier accusé par les syndicalistes de mettre la boîte dans des difficultés financières, tout en bénéficiant « de souteneurs à un niveau insoupçonné qui sont à l’origine de la non application des recommandations effectuées par les vérificateurs. »
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