Un vent de suspicion souffle sur SUNU, la société de banque/assurance qui a récemment racheté la BICIS Sénégal. Des allégations accablantes de « mal gouvernance et d’abus de biens sociaux » émergent, secouant les fondements de la Société et suscitant des inquiétudes quant à sa gestion interne.
Selon des informations dignes de foi, des fonds d’une des sociétés du groupe SUNU ont servi à éteindre une échéance d’une dette personnelle du défunt fondateur Papa Pathé Dione au niveau de la banque BCI qui se trouve au Sénégal. Des allégations qui soulèvent des questions sérieuses « quant à la transparence et à l’intégrité de la gestion au sein de la Société ».
Et d’après des sources proches de la boite, « des autorités compétentes ont déjà été saisies de cette affaire et certaines actions sont attendues pour faire toute la lumière sur ces allégations troublantes. Dans l’attente de résultats concrets, la réputation et la crédibilité de SUNU pourrait gravement être compromises, mettant en péril sa position sur le marché financier et son engagement envers la transparence et l’intégrité ».
Igfm
Selon des informations dignes de foi, des fonds d’une des sociétés du groupe SUNU ont servi à éteindre une échéance d’une dette personnelle du défunt fondateur Papa Pathé Dione au niveau de la banque BCI qui se trouve au Sénégal. Des allégations qui soulèvent des questions sérieuses « quant à la transparence et à l’intégrité de la gestion au sein de la Société ».
Et d’après des sources proches de la boite, « des autorités compétentes ont déjà été saisies de cette affaire et certaines actions sont attendues pour faire toute la lumière sur ces allégations troublantes. Dans l’attente de résultats concrets, la réputation et la crédibilité de SUNU pourrait gravement être compromises, mettant en péril sa position sur le marché financier et son engagement envers la transparence et l’intégrité ».
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