"Une tempête dans un verre d'eau, beaucoup de bruit ou agitation pour pas grand chose" telle est la réponse de cette dame trouvée en banlieue dakaroise, précisément à Mbao.
Interpellée, de but en blanc, pour les besoins de l'enquête entamé par dakarposte.com depuis l'ébruitement de cette affaire de facture impayée, celle que l'on surnomme "Ya Awa", dira qu'il importe de "dénoncer d'abord les plaies du monde médiatique".
S'occupant simultanément de son étal d'accessoires, notre interlocutrice, s'attaquera à "une certaine presse", particulièrement celle-là, "bras armé" qui s'attaque à Abdou Karim Sall.
Ceux qui ont écrit ainsi sur Sall font la satire d'une presse dévoyée et manipulatrice". Poursuivant, elle assène: "fort heureusement que les gens savent faire la part des choses".
Un jeune militant de l'APR Mbao, assis à ses côtés, répondant au nom de Gora opinera du bonnet avant de "dénoncer un processus de dénigrement orchestré par une certaine presse" à des fins, dit-il, "simplement mercantiles".
Invité à s'expliquer, notre interlocuteur, apparemment amer, lâchera: "Vous voulez la vérité sur cet acharnement? Ces soit disant propriétaires de sites internet à deux balles, qui se reconnaitront, ont beau cherché à avoir des faveurs auprès de Abdou Karim Sall; de la publicité qu'ils n'ont pas. C'est ce qui explique le fait qu'ils s'attaquent à sa réputation, qu'ils tentent ainsi de noircir, cherchent à rabaisser, à discréditer Abdou Karim Sall qui reste notre responsable. Cette affaire date de 2009 et a été réglée, alors pourquoi attendre 2016 pour en parler? Pourquoi dire le Directeur de l'ARTP, alors qu'à l'époque Abdou Karim n'était pas encore Dg? Il y'a une volonté manifeste de nuire, mais ils ne perdent rien pour attendre. C'est un combat perdu d'avance parce qu'Abdou Karim ne cède pas au chantage"
Comme s'ils s'étaient passés le mot, un autre groupe d'inconditionnels du responsable politique "Apériste", venu spontanément nous rejoindre, d'abonder dans le même sens.
"Ceux qui s'en prennent à Abdou Karim donnent une représentation grotesque d'un mauvais journal qui fait du chantage, construit uniquement dans l'espoir de permettre à ses patrons d'avoir de l'influence dans les milieux économiques" argue Elimane, qui se présente comme le cadet des militants du Coordonnateur de la Convergence des Cadres Républicains (CCR) du département de Pikine (Abdou Karim Sall).
Voulant passer au laser cette affaire, nous nous sommes alors approchés d'un responsable de Senelec. Qui dédramatise. Aux yeux de notre source, il n' y'a rien d'apocalyptique. Pas de quoi en faire tout un tollé.
A l'en croire, il s'est agi d'un raisonnement spécieux des faits. "Le Monsieur dont vous faites allusion (ndlr: Abdou Karim Sall) paye ses factures avant même la date échue" fera-il savoir avant de pianoter sur le clavier de son Pc pour sortir un exemplaire de relevés pour dira-il étayer son propos.
Poussant nos investigations, il nous revient que la note impayée en question concerne un magasin que M. Sall avait donné en location à un négociant. Et, ce dernier, comme cela se passe souvent entre bailleur et locataire, s'est taillé laissant derrière lui aussi bien la note impayée que des arriérées de location. Pour ainsi dire qu'Abdou Karim Sall "himself" est victime.
C'est dire...
Interpellée, de but en blanc, pour les besoins de l'enquête entamé par dakarposte.com depuis l'ébruitement de cette affaire de facture impayée, celle que l'on surnomme "Ya Awa", dira qu'il importe de "dénoncer d'abord les plaies du monde médiatique".
S'occupant simultanément de son étal d'accessoires, notre interlocutrice, s'attaquera à "une certaine presse", particulièrement celle-là, "bras armé" qui s'attaque à Abdou Karim Sall.
Ceux qui ont écrit ainsi sur Sall font la satire d'une presse dévoyée et manipulatrice". Poursuivant, elle assène: "fort heureusement que les gens savent faire la part des choses".
Un jeune militant de l'APR Mbao, assis à ses côtés, répondant au nom de Gora opinera du bonnet avant de "dénoncer un processus de dénigrement orchestré par une certaine presse" à des fins, dit-il, "simplement mercantiles".
Invité à s'expliquer, notre interlocuteur, apparemment amer, lâchera: "Vous voulez la vérité sur cet acharnement? Ces soit disant propriétaires de sites internet à deux balles, qui se reconnaitront, ont beau cherché à avoir des faveurs auprès de Abdou Karim Sall; de la publicité qu'ils n'ont pas. C'est ce qui explique le fait qu'ils s'attaquent à sa réputation, qu'ils tentent ainsi de noircir, cherchent à rabaisser, à discréditer Abdou Karim Sall qui reste notre responsable. Cette affaire date de 2009 et a été réglée, alors pourquoi attendre 2016 pour en parler? Pourquoi dire le Directeur de l'ARTP, alors qu'à l'époque Abdou Karim n'était pas encore Dg? Il y'a une volonté manifeste de nuire, mais ils ne perdent rien pour attendre. C'est un combat perdu d'avance parce qu'Abdou Karim ne cède pas au chantage"
Comme s'ils s'étaient passés le mot, un autre groupe d'inconditionnels du responsable politique "Apériste", venu spontanément nous rejoindre, d'abonder dans le même sens.
"Ceux qui s'en prennent à Abdou Karim donnent une représentation grotesque d'un mauvais journal qui fait du chantage, construit uniquement dans l'espoir de permettre à ses patrons d'avoir de l'influence dans les milieux économiques" argue Elimane, qui se présente comme le cadet des militants du Coordonnateur de la Convergence des Cadres Républicains (CCR) du département de Pikine (Abdou Karim Sall).
Voulant passer au laser cette affaire, nous nous sommes alors approchés d'un responsable de Senelec. Qui dédramatise. Aux yeux de notre source, il n' y'a rien d'apocalyptique. Pas de quoi en faire tout un tollé.
A l'en croire, il s'est agi d'un raisonnement spécieux des faits. "Le Monsieur dont vous faites allusion (ndlr: Abdou Karim Sall) paye ses factures avant même la date échue" fera-il savoir avant de pianoter sur le clavier de son Pc pour sortir un exemplaire de relevés pour dira-il étayer son propos.
Poussant nos investigations, il nous revient que la note impayée en question concerne un magasin que M. Sall avait donné en location à un négociant. Et, ce dernier, comme cela se passe souvent entre bailleur et locataire, s'est taillé laissant derrière lui aussi bien la note impayée que des arriérées de location. Pour ainsi dire qu'Abdou Karim Sall "himself" est victime.
C'est dire...