Nous assistons depuis l'élection du Président Macky Sall et notamment depuis l'attaque de Charlie Hebdo à un discours musclé sur le tout sécuritaire.
Les mesures allant du portage téléphonique,à la série d'identification des puces à l'adressage.
La nouvelle vague de mesures est l'introduction de la biométrie dans la nouvelle carte d'identité nationale avec de nouveaux procédés permettant d'asseoir une base de données communautaire.
Mais le hic dans ces mesures qui sont du reste compréhensibles, réside dans le parc d'écoute téléphonique logée au niveau de la direction centrale du renseignement interieur.
Ce système d'écoute de dernière génération bien que logée dans un service national est géré par des étrangers composés de français, israëliens et africains nous confirme une de nos sources au fait de ce qui se trame au sommet de l'Etat.
Cette même source de nous édifier sur le fait que le renseignement politique qui était dévolu à l'ex Brigade Nationale de la Sûreté de l'Etat devenue avec la nouvelle réforme du renseignement direction régionale du renseignement intérieur, est quasiment logée au niveau de la présidence.
Tant de pouvoirs concentrés entre les mains du Président risque de peser sur la balance nous renseigne un ancien cadre des renseignements qui ne comprend pas qu'on veuille mettre tous les services secrets sous la coupe exclusive du Président.
Et ce cadre de nous citer des exemples où à force de concentrer les services de renseignements entre les mains d'un Président, cela peut fausser le jeu car toutes les cartes seront entre ces mains et il aura droit de vie et de mort sur tout le monde.
Une autre source jusqu'ici fiable de nous renseigner que ce n'est pas fortuit que le Président ait ainsi la mainmise sur les services de renseignements généraux. En cause? Notre interlocuteur rappellera que le "patron" (Macky Sall) a discrètement pris des mesures conservatoires depuis les fameux évènements survenus, il y'a un an, à l'UCAD où le pire a été évité de justesse.
Accueilli par des brassards rouges par des étudiants qui réclamaient justice pour Bassirou Faye, tué lors de manifestations estudiantines pour la réclamation de leurs bourses, le cortège présidentiel a fini par être caillassé. "Et, ça pouvait dégénérer ce jour-là" renchérit notre source. Qui nous révèle qu' "il a été noté des défaillances des services de renseignements".
"En haut lieu, les Rg comme on dit, ont été pointées du doigt. Les autorités au premier chef le Pr ne pouvaient pas comprendre le pourquoi ils n’ont pas senti le sens du vent et sa force" étaye notre interlocuteur. "D’autant plus que les choses étaient clairement annoncées et publiquement par les étudiants libéraux. Des responsables du Meel avaient prévenu qu’ils réserveraient une surprise au Président, estimant que sa venue était une visite purement politique".
Les mesures allant du portage téléphonique,à la série d'identification des puces à l'adressage.
La nouvelle vague de mesures est l'introduction de la biométrie dans la nouvelle carte d'identité nationale avec de nouveaux procédés permettant d'asseoir une base de données communautaire.
Mais le hic dans ces mesures qui sont du reste compréhensibles, réside dans le parc d'écoute téléphonique logée au niveau de la direction centrale du renseignement interieur.
Ce système d'écoute de dernière génération bien que logée dans un service national est géré par des étrangers composés de français, israëliens et africains nous confirme une de nos sources au fait de ce qui se trame au sommet de l'Etat.
Cette même source de nous édifier sur le fait que le renseignement politique qui était dévolu à l'ex Brigade Nationale de la Sûreté de l'Etat devenue avec la nouvelle réforme du renseignement direction régionale du renseignement intérieur, est quasiment logée au niveau de la présidence.
Tant de pouvoirs concentrés entre les mains du Président risque de peser sur la balance nous renseigne un ancien cadre des renseignements qui ne comprend pas qu'on veuille mettre tous les services secrets sous la coupe exclusive du Président.
Et ce cadre de nous citer des exemples où à force de concentrer les services de renseignements entre les mains d'un Président, cela peut fausser le jeu car toutes les cartes seront entre ces mains et il aura droit de vie et de mort sur tout le monde.
Une autre source jusqu'ici fiable de nous renseigner que ce n'est pas fortuit que le Président ait ainsi la mainmise sur les services de renseignements généraux. En cause? Notre interlocuteur rappellera que le "patron" (Macky Sall) a discrètement pris des mesures conservatoires depuis les fameux évènements survenus, il y'a un an, à l'UCAD où le pire a été évité de justesse.
Accueilli par des brassards rouges par des étudiants qui réclamaient justice pour Bassirou Faye, tué lors de manifestations estudiantines pour la réclamation de leurs bourses, le cortège présidentiel a fini par être caillassé. "Et, ça pouvait dégénérer ce jour-là" renchérit notre source. Qui nous révèle qu' "il a été noté des défaillances des services de renseignements".
"En haut lieu, les Rg comme on dit, ont été pointées du doigt. Les autorités au premier chef le Pr ne pouvaient pas comprendre le pourquoi ils n’ont pas senti le sens du vent et sa force" étaye notre interlocuteur. "D’autant plus que les choses étaient clairement annoncées et publiquement par les étudiants libéraux. Des responsables du Meel avaient prévenu qu’ils réserveraient une surprise au Président, estimant que sa venue était une visite purement politique".