Dans le cadre du programme pour le financement de 2000 taxis urbains et la relance du secteur des transports, initié par le ministère des infrastructures et des transports terrestres, cette institution a investi près de 400 millions de F Cfa , pour un financement de 50 taxis afin de renouveler le parc de véhicules taxis de l’Aibd. «Ce programme de financement de 50 taxis, pour un montant global de près de 400 millions de F Cfa, a été possible grâce au PAVIE, notamment sur les ressources allouées par l’AFD», a fait savoir Aida Mbodj lors de la cérémonie.
A l’en croire, cette première cohorte de 36 taxis, va participer à la modernisation du parc automobile de l’AIBD, en assurant sécurité et respect des codes de conduite, au bénéfice des usagers. «En effet, les bénéficiaires ont tous été formalisés et ont été formés sur les modules de gestion, de sécurité routière et de civisme. C’est un programme conforme au vœu exprimé par le Président de la République et le Premier Ministre d’accompagner tous les Sénégalais qui opèrent dans toutes activités génératrices de revenus et qui ont besoin de financements pour la développer», soutient-elle.
Aida Mbodj ajoute que «ce programme vise surtout à lutter contre la vétusté du parc automobile considérée comme une des causes principales des accidents dont la recrudescence inquiète ces derniers temps. Ce qui justifie toutes les initiatives prises par le Ministère des Infrastructures et qui sont à saluer». Au-delà de l’accompagnement, poursuit Aida Mbodj, nous avons voulu engager la responsabilité des bénéficiaires avec une participation de 400 000 FCFA, qui ont été destinés intégralement à la souscription d’une assurance tout risque du véhicule. «Une seconde cohorte de 14 sera financée, afin de compléter l’engagement de la DER/FJ sur ce programme d’envergure. Le secteur du transport étant un secteur majeur de l’économie, bénéficie au sein de la DER/FJ d’un département qui lui est dédié, afin d’accompagner les jeunes et femmes dont les projets concernent le transport de personnes et le transport de marchandises. Ce sont 2037 projets financés, soit 2,5 milliards de F Cfa tous guichets confondus, accompagnés de l’assistance technique et la formation, pour assurer la sécurité routière et mettre nos bénéficiaires à niveau», a-t-elle dit.
D’autres projets phares dans le secteur du transport sont en cours d’exécution, selon la patronne de la Der. Il s’agit, souligne Aida Mbodj, «de 200 bus interurbains, avec un financement de la BNDE et la DER, en partenariat avec AFTU et SENBUS, pour une enveloppe de 3,1 milliards de F Cfa, dans une logique de remplacement des véhicules vétustes, modernisation du transport urbain et sécurité des passagers ; du remplacement en cours de 40 camions vidangeurs par des camions hydrocureurs modernes pour une enveloppe de 2 milliards de F Cfa, grâce à notre collaboration avec l’USAID, la fondation Bill et Melinda Gates, la BNDE, l’ONAS, et l’association des chauffeurs de camions vidangeurs du Sénégal, pour contribuer au renouvellement du parc automobile et à l’assainissement des villes, avec un objectif de remplacement de 250 à long terme ; du programme de 100 tricycles adaptés, destinés aux zones rurales, pour faciliter la mobilité des cultures aquacoles et agricoles, afin de renforcer ce maillon essentiel pour l’autosuffisance alimentaire». «J’exhorte nos bénéficiaires à faire bon usage des véhicules qui leurs sont attribués et à veiller au respect du remboursement, qui est la suite logique du financement», conclut-elle.
rewmi
A l’en croire, cette première cohorte de 36 taxis, va participer à la modernisation du parc automobile de l’AIBD, en assurant sécurité et respect des codes de conduite, au bénéfice des usagers. «En effet, les bénéficiaires ont tous été formalisés et ont été formés sur les modules de gestion, de sécurité routière et de civisme. C’est un programme conforme au vœu exprimé par le Président de la République et le Premier Ministre d’accompagner tous les Sénégalais qui opèrent dans toutes activités génératrices de revenus et qui ont besoin de financements pour la développer», soutient-elle.
Aida Mbodj ajoute que «ce programme vise surtout à lutter contre la vétusté du parc automobile considérée comme une des causes principales des accidents dont la recrudescence inquiète ces derniers temps. Ce qui justifie toutes les initiatives prises par le Ministère des Infrastructures et qui sont à saluer». Au-delà de l’accompagnement, poursuit Aida Mbodj, nous avons voulu engager la responsabilité des bénéficiaires avec une participation de 400 000 FCFA, qui ont été destinés intégralement à la souscription d’une assurance tout risque du véhicule. «Une seconde cohorte de 14 sera financée, afin de compléter l’engagement de la DER/FJ sur ce programme d’envergure. Le secteur du transport étant un secteur majeur de l’économie, bénéficie au sein de la DER/FJ d’un département qui lui est dédié, afin d’accompagner les jeunes et femmes dont les projets concernent le transport de personnes et le transport de marchandises. Ce sont 2037 projets financés, soit 2,5 milliards de F Cfa tous guichets confondus, accompagnés de l’assistance technique et la formation, pour assurer la sécurité routière et mettre nos bénéficiaires à niveau», a-t-elle dit.
D’autres projets phares dans le secteur du transport sont en cours d’exécution, selon la patronne de la Der. Il s’agit, souligne Aida Mbodj, «de 200 bus interurbains, avec un financement de la BNDE et la DER, en partenariat avec AFTU et SENBUS, pour une enveloppe de 3,1 milliards de F Cfa, dans une logique de remplacement des véhicules vétustes, modernisation du transport urbain et sécurité des passagers ; du remplacement en cours de 40 camions vidangeurs par des camions hydrocureurs modernes pour une enveloppe de 2 milliards de F Cfa, grâce à notre collaboration avec l’USAID, la fondation Bill et Melinda Gates, la BNDE, l’ONAS, et l’association des chauffeurs de camions vidangeurs du Sénégal, pour contribuer au renouvellement du parc automobile et à l’assainissement des villes, avec un objectif de remplacement de 250 à long terme ; du programme de 100 tricycles adaptés, destinés aux zones rurales, pour faciliter la mobilité des cultures aquacoles et agricoles, afin de renforcer ce maillon essentiel pour l’autosuffisance alimentaire». «J’exhorte nos bénéficiaires à faire bon usage des véhicules qui leurs sont attribués et à veiller au respect du remboursement, qui est la suite logique du financement», conclut-elle.
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