Les germes de la radicalisation sont bien réels dans a banlieue dakaroise. Une étude réalisée sur le terrorisme par Timbuktu Institute, révèle des résultats pas du tout rassurants.
Les facteurs de la radicalisation sont à chercher dans la précarité, la pauvreté et la dualité du système éducatif qui n’offre pas les mêmes avantages à tout le monde.
Cette enquête a été menée auprès de 300 jeunes âgés entre 18 et 35 ans. D’après les auteurs de cette enquête exploitée par Le Quotidien, c’est l’Etat qui est cité comme seul responsable de cette radicalisation par son incapacité à réduire le chômage et la pauvreté.
Mais le fait marquant dans cette étude, c’est le nombre de 25 personnes dont 11 femmes qui se disent prêts à s’engager dans un groupement qui défend l’Islam. Le fait qui ne passe inaperçu, concerne deux femmes prêtes à rejoindre un groupe « jihadiste ».
(SeneJet)
Les facteurs de la radicalisation sont à chercher dans la précarité, la pauvreté et la dualité du système éducatif qui n’offre pas les mêmes avantages à tout le monde.
Cette enquête a été menée auprès de 300 jeunes âgés entre 18 et 35 ans. D’après les auteurs de cette enquête exploitée par Le Quotidien, c’est l’Etat qui est cité comme seul responsable de cette radicalisation par son incapacité à réduire le chômage et la pauvreté.
Mais le fait marquant dans cette étude, c’est le nombre de 25 personnes dont 11 femmes qui se disent prêts à s’engager dans un groupement qui défend l’Islam. Le fait qui ne passe inaperçu, concerne deux femmes prêtes à rejoindre un groupe « jihadiste ».
(SeneJet)