La page du référendum, dont les résultats ont rejetés par la coalition qui regroupe les partisans du Non, peine à être tournée par les acteurs politiques. Du côté de Bokk Gis Gis, une fraude à grande échelle a permis au camp du Oui de sortie vainqueur le 20 mars dernier. dans le quotidien L'observateur du jour, les partisans et proches de Pape Diop s’interrogent et accusent. «Le régime actuel a reconnu de manière officielle l’existence de fraude à grande échelle. Le chargé des élections a déclaré le nombre de bureaux de vote le 8 mars. Et le 22 mars, son ministre de tutelle déclare un autre nombre. Il existe ainsi un gap de 1200 et quelques bureaux. Pis, le Sénégalais ne savent pas où se trouvent ces bureaux de vote. C’est extrêmement grave», constate Cheikh Mbacké Ngom, porte-parole du jour.
Evoquant l’urgence d’un audit du fichier électoral, avant la tenue de prochaines élections, il estime que «c’est une question de vie ou de mort pour l’opposition. Si l’opposition part en élection avec ce fichier électoral, les carottes sont cuite avant la compétition».
Au sujet du référendum toujours, l’opposition est allée aux élections sans disposer de la carte électorale, regrette-t-il.
Evoquant l’urgence d’un audit du fichier électoral, avant la tenue de prochaines élections, il estime que «c’est une question de vie ou de mort pour l’opposition. Si l’opposition part en élection avec ce fichier électoral, les carottes sont cuite avant la compétition».
Au sujet du référendum toujours, l’opposition est allée aux élections sans disposer de la carte électorale, regrette-t-il.