La cérémonie d’installation du nouveau directeur de la Police, a été une occasion pour les limiers de se lancer des piques. Le ministre de l’Intérieur, Abdoulaye Daouda Diallo, dont tout le monde connait ses rapports heurtés avec l’ancienne patronne de la Police, ne faisait que du «Garouwalé» à l’ex-patronne de la Police au moment de son discours. Parlant à la cantonade, l’homme de confiance de Macky Sall a débité des mots qui ne sont pas passés inaperçus : «On vient d’avoir l’homme qu’il faut à la place qu’il faut», dixit Abdoulaye Daouda Diallo. Et les interprétations fusèrent de partout. Cela veut dire et vaut quoi ? Que la Police vient d’avoir un bon patron de 1960 à nos jours ?
Dans la foulée, le premier des flics demeure convaincu qu’Oumar «Mal», contrairement à Anna « Faille», répondra positivement au nouveau type de management de la sécurité qui, dit-il, requiert une rupture d’avec le classicisme. «Nous pouvons tous être rassurés que l’homme (Ndlr : Oumar Maal) va assurer plus encore la sécurité des personnes et des biens sur l’ensemble du territoire national», renchérit le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique. Anna Sémou Faye, lors de son speech, s’est contentée, de faire les éloges du président Sall. C’est ça qu’on appelle une guerre froide.
Dans la foulée, le premier des flics demeure convaincu qu’Oumar «Mal», contrairement à Anna « Faille», répondra positivement au nouveau type de management de la sécurité qui, dit-il, requiert une rupture d’avec le classicisme. «Nous pouvons tous être rassurés que l’homme (Ndlr : Oumar Maal) va assurer plus encore la sécurité des personnes et des biens sur l’ensemble du territoire national», renchérit le ministre de l’Intérieur et de la Sécurité publique. Anna Sémou Faye, lors de son speech, s’est contentée, de faire les éloges du président Sall. C’est ça qu’on appelle une guerre froide.