Après avoir démissionné avec fracas de son poste de Directeur de cabinet adjoint du Président de la République en 2013, Moubarack Lô revient aux affaires comme conseiller spécial du Premier ministre.
Et pourtant, en août 2014, après avoir rencontré Idrissa Seck, il déclarait : «Mon ambition, c’est d’alterner Macky Sall en mettant Idrissa Seck à la tête de l’Etat». Les deux hommes procédaient, en ce moment, au lancement officiel de la Ca2017, une plateforme collaborative regroupant tous les élus de l’opposition victorieuse des élections locales du 29 juin 2014.
«Nous fondions beaucoup d’espoir à l’alternance de 2012, mais elle s’est transformée progressivement en déception et désillusion.
Aujourd’hui, l’ambition c’est de mettre à la tête du Sénégal une équipe de dirigeants capables de le propulser enfin vers la voie de l’émergence économique et du développement social. Idrissa Seck est le meilleur d’entre nous en termes de culture générale. Je n’ai jamais vu un homme politique aussi cultivé, la culture d’Idrissa Seck est impressionnante. C’est un atout. Le Sénégal a besoin aujourd’hui d’un Président cultivé. Comme le président de la République, c’est le coach, le coordonnateur, il doit être aussi ou autant cultivé que ceux qu’il est chargé de coordonner. Ça sera une chance, si on pourra avoir Idrissa Seck à la tête du Sénégal. Il y a quatre éléments qui justifient notre présence sur terre, il y a le savoir livresque ou intellectuel, il y a la religion, il y a le bien-être personnel et il y a la famille.
Ces quatre éléments se retrouvent chez Idrissa Seck. Le Sénégal mérite d’avoir à sa tête quelqu’un de la trempe d’Idrissa Seck», déclarait l’économiste. «Je me donnerai les ambitions avec l’équipe que je vais soutenir, notre Président Idrissa Seck pour qu’en 2017, qu’il gagne. Même s’il fait des efforts, il manque beaucoup de chose à Macky Sall. Un leader ne peut jamais compter sur des conseillers pour pouvoir aller de l’avant, il faut avoir soi-même une vision très claire, et surtout avoir du courage pour mettre en œuvre ses idées mais ne pas tâtonner ni hésiter. Ce que j’ai gardé sur les raisons qui m’ont fait quitter la Présidence, c’est beaucoup plus important que ce que j’ai dit. Au niveau professionnel, je n’ai pas senti un Etat bien géré et je ne voulais pas perdre mon temps», disait-il.
Que s'est-il passé entre temps pour que Moubarack Lô opère un virage à 180 degrès ?
Seneweb.com
Et pourtant, en août 2014, après avoir rencontré Idrissa Seck, il déclarait : «Mon ambition, c’est d’alterner Macky Sall en mettant Idrissa Seck à la tête de l’Etat». Les deux hommes procédaient, en ce moment, au lancement officiel de la Ca2017, une plateforme collaborative regroupant tous les élus de l’opposition victorieuse des élections locales du 29 juin 2014.
«Nous fondions beaucoup d’espoir à l’alternance de 2012, mais elle s’est transformée progressivement en déception et désillusion.
Aujourd’hui, l’ambition c’est de mettre à la tête du Sénégal une équipe de dirigeants capables de le propulser enfin vers la voie de l’émergence économique et du développement social. Idrissa Seck est le meilleur d’entre nous en termes de culture générale. Je n’ai jamais vu un homme politique aussi cultivé, la culture d’Idrissa Seck est impressionnante. C’est un atout. Le Sénégal a besoin aujourd’hui d’un Président cultivé. Comme le président de la République, c’est le coach, le coordonnateur, il doit être aussi ou autant cultivé que ceux qu’il est chargé de coordonner. Ça sera une chance, si on pourra avoir Idrissa Seck à la tête du Sénégal. Il y a quatre éléments qui justifient notre présence sur terre, il y a le savoir livresque ou intellectuel, il y a la religion, il y a le bien-être personnel et il y a la famille.
Ces quatre éléments se retrouvent chez Idrissa Seck. Le Sénégal mérite d’avoir à sa tête quelqu’un de la trempe d’Idrissa Seck», déclarait l’économiste. «Je me donnerai les ambitions avec l’équipe que je vais soutenir, notre Président Idrissa Seck pour qu’en 2017, qu’il gagne. Même s’il fait des efforts, il manque beaucoup de chose à Macky Sall. Un leader ne peut jamais compter sur des conseillers pour pouvoir aller de l’avant, il faut avoir soi-même une vision très claire, et surtout avoir du courage pour mettre en œuvre ses idées mais ne pas tâtonner ni hésiter. Ce que j’ai gardé sur les raisons qui m’ont fait quitter la Présidence, c’est beaucoup plus important que ce que j’ai dit. Au niveau professionnel, je n’ai pas senti un Etat bien géré et je ne voulais pas perdre mon temps», disait-il.
Que s'est-il passé entre temps pour que Moubarack Lô opère un virage à 180 degrès ?
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