Le premier point de presse qui devait avoir lieu dans la journée, très attendu, était celui de la Commission électorale (Céni). Il était prévu à 11 h heure locale, mais il a été annulé sans que ne soit annoncé une autre échéance. Les commissaires sont sur le terrain et ils ne sont pas disponibles, vient d’expliquer au téléphone à RFI l’un des responsables de la Commission.
Depuis des semaines, la Céni est pointée du doigt, principalement par les sept candidats à la présidentielle opposés à Alpha Condé. Avant le scrutin, Cellou Dalein Diallo, Sidya Touré avaient par exemple accusé les responsables de la Commission d’être aux ordres des autorités, de ne pas être organisés, parlant même d’une mascarade électorale, avant d’accepter finalement de participer au premier tour.
Plus de 14 000 procès-verbaux à centraliser à Conakry
Les opposants au président Alpha Condé doivent d’ailleurs aussi de réunir ce lundi et tenir une conférence de presse. Depuis hier soir, les états-majors de ces deux candidats multiplient les annonces, notamment sur les réseaux sociaux, évoquent des fraudes. Normalement, c’est au niveau de la Cour constitutionnelle que des demandes de révision doivent être déposées. On verra donc si les candidats choisissent cette voie légale, en attendant l’annonce des résultats.
Les procès verbaux de tous les bureaux de vote – il y en a plus de 14 000 – doivent être centralisés à Conakry. Cela peut prendre du temps. Pour les régions reculées, les autorités ont mis en place des pirogues dans certaines zones, car la Guinée est en saison des pluies.
Il faut également faire revenir les résultats des Guinéens qui ont voté à l’étranger : 18 ambassades et consulats sont concernés. A partir du moment où le dernier procès-verbal arrive à la Céni à Conakry, la Commission a un maximum de 72 heures pour donner les résultats provisoires de ce premier tour.
Depuis des semaines, la Céni est pointée du doigt, principalement par les sept candidats à la présidentielle opposés à Alpha Condé. Avant le scrutin, Cellou Dalein Diallo, Sidya Touré avaient par exemple accusé les responsables de la Commission d’être aux ordres des autorités, de ne pas être organisés, parlant même d’une mascarade électorale, avant d’accepter finalement de participer au premier tour.
Plus de 14 000 procès-verbaux à centraliser à Conakry
Les opposants au président Alpha Condé doivent d’ailleurs aussi de réunir ce lundi et tenir une conférence de presse. Depuis hier soir, les états-majors de ces deux candidats multiplient les annonces, notamment sur les réseaux sociaux, évoquent des fraudes. Normalement, c’est au niveau de la Cour constitutionnelle que des demandes de révision doivent être déposées. On verra donc si les candidats choisissent cette voie légale, en attendant l’annonce des résultats.
Les procès verbaux de tous les bureaux de vote – il y en a plus de 14 000 – doivent être centralisés à Conakry. Cela peut prendre du temps. Pour les régions reculées, les autorités ont mis en place des pirogues dans certaines zones, car la Guinée est en saison des pluies.
Il faut également faire revenir les résultats des Guinéens qui ont voté à l’étranger : 18 ambassades et consulats sont concernés. A partir du moment où le dernier procès-verbal arrive à la Céni à Conakry, la Commission a un maximum de 72 heures pour donner les résultats provisoires de ce premier tour.