Dès l’abord, la première conférence de presse du Président Faye a marqué le ton en ce qui elle a réuni exclusivement des journalistes de la presse sénégalaise, préférée pour une fois à celle étrangère, choisie judicieusement, comme pour signifier que le Président Sénégalais consacrait sa communication à son peuple avec des professionnels du cru.
Le choix du Wolof d’abord puis du français ensuite portait la deuxième valeur symbolique du message qui s’adressait à ceux qu’il ne remerciera jamais assez pour l’avoir choisi à la station présidentielle. D’une courtoisie et d’une délicatesse infinies, Bassirou Diomaye Faye a décrit avec sérénité et mesure l’état inquiétant de l’économie sénégalaise dont son régime a hérité. L’illustration de cette pâle situation était le raclage des fonds politiques du président de la République en un trimestre de l’année budgétaire sur les quatre restants. Le président Faye a présenté la situation sur l’état des comptes publics et du nouveau d’endettement insupportable proche de 16.000 US dollars qui plombe les perspectives à court terme du pays.
Avec endurance et ingéniosité il a liste quelques réponses hardies qui ont permis de soutenir les premières défis et réaliser des promesses tels que la poursuite de l’approvisionnement en électricité et en eau, le financement de la campagne agricole, l’accès aux engrais et intrants, la diminution du coût de la vie, le remboursement d’une partie de la dette intérieure ainsi que du service de la dette, le paiement régulier des salaires.
Rien ni personne ne peut nous séparer
Répondant à quelques opposants et médias sceptiques qui augurent d’une éventuelle fissure entre le Premier ministre Ousmane Sonko et lui, qui lui ferait de l’ombre, Bassirou Diomaye a été clair, net et précis proclamant que rien ni personne ne peut nous séparer. Comme pour rappeler que Sonko moy Diomaye, Diomaye moy Sonko.
Avec une grande tempérance dans le propos, Bassirou Diomaye Faye a administré la preuve de son sens de la mesure et celle de sa grandeur d’âme en écartant toute chasse aux sorcières disant non au règlement de comptes, oui à la reddition des comptes.
Le Président Faye porte avec aisance le manteau d’un Chef d’État fédérateur, rassembleur et pacificateur qui entend être passeur de paix et unificateur imperturbable.
Porteur du projet que son ami et Premier Ministre Ousmane Sonko et leurs compagnons ont patiemment conçu depuis 2014 jusqu’à leur triomphe, Bassirou Diomaye Faye attache du prix à l’équité sociale et au bien-être de ses concitoyens, les plus défavorisés d’entre eux au premier chef.
A ses intervieweurs Arame Touré, Souleymane Niang, Abdou Kogne Sall, Ndèye Marieme Ndiaye, Migui Marame Ndiaye, Pierre Edouard Faye, sous la modération de Fatou Sakho, le Président Bassirou Diomaye Faye a réussi avec brio l’exercice de communication qu’il a entrepris avec son peuple, ouvrant la perspective de rester en contact régulier avec sa nation.
Abdoulaye Fofana SECK
Le choix du Wolof d’abord puis du français ensuite portait la deuxième valeur symbolique du message qui s’adressait à ceux qu’il ne remerciera jamais assez pour l’avoir choisi à la station présidentielle. D’une courtoisie et d’une délicatesse infinies, Bassirou Diomaye Faye a décrit avec sérénité et mesure l’état inquiétant de l’économie sénégalaise dont son régime a hérité. L’illustration de cette pâle situation était le raclage des fonds politiques du président de la République en un trimestre de l’année budgétaire sur les quatre restants. Le président Faye a présenté la situation sur l’état des comptes publics et du nouveau d’endettement insupportable proche de 16.000 US dollars qui plombe les perspectives à court terme du pays.
Avec endurance et ingéniosité il a liste quelques réponses hardies qui ont permis de soutenir les premières défis et réaliser des promesses tels que la poursuite de l’approvisionnement en électricité et en eau, le financement de la campagne agricole, l’accès aux engrais et intrants, la diminution du coût de la vie, le remboursement d’une partie de la dette intérieure ainsi que du service de la dette, le paiement régulier des salaires.
Rien ni personne ne peut nous séparer
Répondant à quelques opposants et médias sceptiques qui augurent d’une éventuelle fissure entre le Premier ministre Ousmane Sonko et lui, qui lui ferait de l’ombre, Bassirou Diomaye a été clair, net et précis proclamant que rien ni personne ne peut nous séparer. Comme pour rappeler que Sonko moy Diomaye, Diomaye moy Sonko.
Avec une grande tempérance dans le propos, Bassirou Diomaye Faye a administré la preuve de son sens de la mesure et celle de sa grandeur d’âme en écartant toute chasse aux sorcières disant non au règlement de comptes, oui à la reddition des comptes.
Le Président Faye porte avec aisance le manteau d’un Chef d’État fédérateur, rassembleur et pacificateur qui entend être passeur de paix et unificateur imperturbable.
Porteur du projet que son ami et Premier Ministre Ousmane Sonko et leurs compagnons ont patiemment conçu depuis 2014 jusqu’à leur triomphe, Bassirou Diomaye Faye attache du prix à l’équité sociale et au bien-être de ses concitoyens, les plus défavorisés d’entre eux au premier chef.
A ses intervieweurs Arame Touré, Souleymane Niang, Abdou Kogne Sall, Ndèye Marieme Ndiaye, Migui Marame Ndiaye, Pierre Edouard Faye, sous la modération de Fatou Sakho, le Président Bassirou Diomaye Faye a réussi avec brio l’exercice de communication qu’il a entrepris avec son peuple, ouvrant la perspective de rester en contact régulier avec sa nation.
Abdoulaye Fofana SECK