Les jeunes sont souvent les bras séculiers de leurs leaders, leurs boucliers ou leurs caisses de résonance. Ils sont davantage des exécutants que des décideurs dans les formations politiques. À la place d’un discours qui fouille et dissèque les programmes des partis, ils se signalent généralement par des propos haineux, violents. C’est qu’au Sénégal la relève dans les appareils politiques cale.
« On a l’impression d’être dans une situation d’arrêt. On a à peu près les mêmes têtes au niveau de la politique », constate Ousmane Sonko du parti Pastef. Dans un pays majorité jeune et dirigé par un Président né après l’Indépendance, cela peut surprendre.
La faute, constate Moussa Sarr de la Ld le déficit d’auto-formation des jeunes, la recherche effréné de l’argent facile, les crises scolaires et l’abandon de la formation au niveau des partis politiques. (Source : Sud Quotidien)
Auteur: seneweb
« On a l’impression d’être dans une situation d’arrêt. On a à peu près les mêmes têtes au niveau de la politique », constate Ousmane Sonko du parti Pastef. Dans un pays majorité jeune et dirigé par un Président né après l’Indépendance, cela peut surprendre.
La faute, constate Moussa Sarr de la Ld le déficit d’auto-formation des jeunes, la recherche effréné de l’argent facile, les crises scolaires et l’abandon de la formation au niveau des partis politiques. (Source : Sud Quotidien)
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