Âgé de 38 ans, M. Ndiaye a été attrait devant la chambre correctionnelle pour répondre du délit de possession d’ecstasy. Il a été condamné à une semaine d’emprisonnement ferme.
Devant la juridiction, le prévenu a soutenu ignorer le produit comme étant de la drogue.
« Je ne savais pas que c’était de l’ecstasy. J’avais cru que c’était un médicament contre la douleur », s’est-il justifié. D’après lui, il a payé le produit prohibé auprès d’un vendeur de médicaments de la rue pour soulager sa maladie.
« Je souffre d’hémorroïdes. C’est un client qui me l’a donné», a expliqué M diaye. Prenant la parole, le représentant du ministère public l’a sermonné avant de l’obliger à arrêter l’usage de la drogue.
« Vous vous droguez et quand on vous prend, vous venez ici nous raconter des histoires. Vous connaissez tous l’ecstasy et le volet. Vous en faites usage et vous n’assumez jamais. Arrêtez de vous droguer si vous ne voulez pas finir en prison», lui a pesté le magistrat. Conseillé par son avocat à s’excuser, le mis en cause s’est, toutefois, engagé devant le tribunal à ne plus faire usage de cette drogue. Plaidant sa cause, le conseil a demandé une application bienveillante de la loi pénale.
Statuant publiquement et contradictoirement, la juridiction l’a reconnu coupable de détention d’ecstasy et l’a condamné à 7 jours fermes d’emprisonnement.
dakaractu
Devant la juridiction, le prévenu a soutenu ignorer le produit comme étant de la drogue.
« Je ne savais pas que c’était de l’ecstasy. J’avais cru que c’était un médicament contre la douleur », s’est-il justifié. D’après lui, il a payé le produit prohibé auprès d’un vendeur de médicaments de la rue pour soulager sa maladie.
« Je souffre d’hémorroïdes. C’est un client qui me l’a donné», a expliqué M diaye. Prenant la parole, le représentant du ministère public l’a sermonné avant de l’obliger à arrêter l’usage de la drogue.
« Vous vous droguez et quand on vous prend, vous venez ici nous raconter des histoires. Vous connaissez tous l’ecstasy et le volet. Vous en faites usage et vous n’assumez jamais. Arrêtez de vous droguer si vous ne voulez pas finir en prison», lui a pesté le magistrat. Conseillé par son avocat à s’excuser, le mis en cause s’est, toutefois, engagé devant le tribunal à ne plus faire usage de cette drogue. Plaidant sa cause, le conseil a demandé une application bienveillante de la loi pénale.
Statuant publiquement et contradictoirement, la juridiction l’a reconnu coupable de détention d’ecstasy et l’a condamné à 7 jours fermes d’emprisonnement.
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