Le secrétariat exécutif national de l’Alliance pour la République (APR) dénonce les propos tenus par le Premier ministre à l’endroit de l’institution parlementaire qu’il considère « outrageants ».
Mieux, l’opposition estime que ces propos « constituent une menace réelle sur le fonctionnement normal des institutions de la République et la préservation des valeurs républicaines », peut-on lire dans un communiqué parvenu à la rédaction.
Le secrétariat exécutif de l'Alliance pour la République approuve « sans réserve » la démarche du groupe parlementaire qui a bloqué samedi le débat d’orientation budgétaire du ministre des Finances.
Dans cette lancée, le secrétariat exécutif appelle le bureau de l’institution parlementaire « à ne rien céder de ses prérogatives constitutionnelles ».
Dans ledit communiqué, le secrétariat exécutif exhorte le groupe parlementaire BBY à initier des rencontres avec d’autres groupes parlementaires et d’autres députés non-inscrits pour « faire bloc face aux détracteurs de nos institutions ».
Pour rappel, le Premier ministre avait déclaré qu’il ne tiendrait pas sa politique générale à moins que le règlement intérieur de l’Assemblée nationale ne soit révisé. Il envisageait à cet effet de contourner le parlement en tenant sa déclaration de politique générale devant un jury populaire.
pressafrik
Mieux, l’opposition estime que ces propos « constituent une menace réelle sur le fonctionnement normal des institutions de la République et la préservation des valeurs républicaines », peut-on lire dans un communiqué parvenu à la rédaction.
Le secrétariat exécutif de l'Alliance pour la République approuve « sans réserve » la démarche du groupe parlementaire qui a bloqué samedi le débat d’orientation budgétaire du ministre des Finances.
Dans cette lancée, le secrétariat exécutif appelle le bureau de l’institution parlementaire « à ne rien céder de ses prérogatives constitutionnelles ».
Dans ledit communiqué, le secrétariat exécutif exhorte le groupe parlementaire BBY à initier des rencontres avec d’autres groupes parlementaires et d’autres députés non-inscrits pour « faire bloc face aux détracteurs de nos institutions ».
Pour rappel, le Premier ministre avait déclaré qu’il ne tiendrait pas sa politique générale à moins que le règlement intérieur de l’Assemblée nationale ne soit révisé. Il envisageait à cet effet de contourner le parlement en tenant sa déclaration de politique générale devant un jury populaire.
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