C’est donc par un huis clos que la conférence a commencé et qui a duré au moins deux heures. Les chefs de l’État se sont enfermés. Cela arrive quelquefois, mais cela veut dire aussi, quand cela arrive dans ce genre de sommets, qu'il y a des sujets importants. Évidemment, le sujet important sur la table était non seulement la confirmation du départ de la Cédéao des trois pays - le Mali le Niger et le Burkina Faso – mais surtout la décision de créer une confédération par ces trois pays-là.
D'après nos informations, la dent était plutôt dure contre les putschistes du Mali, du Burkina et du Niger. Lors du huis clos, un chef d'État aurait déclaré par exemple : « Nous nous attendions à cela. Nous avons pris les précautions. Il y avait deux options, les faire revenir par la négociation, mais assumée à un départ. Donc, ils vont partir avec les conséquences ».
Aussi, les chefs de l’État - on attend le communiqué final – ont plutôt voulu coordonner leurs actions et points de vue sur cette importante question.
D'après nos informations, la dent était plutôt dure contre les putschistes du Mali, du Burkina et du Niger. Lors du huis clos, un chef d'État aurait déclaré par exemple : « Nous nous attendions à cela. Nous avons pris les précautions. Il y avait deux options, les faire revenir par la négociation, mais assumée à un départ. Donc, ils vont partir avec les conséquences ».
Aussi, les chefs de l’État - on attend le communiqué final – ont plutôt voulu coordonner leurs actions et points de vue sur cette importante question.