Entamés depuis hier, ses affrontements entre gendarmes et jeunes se sont poursuivis durant toute la matinée d’aujourd’hui sur l’avenue de la gendarmerie jusqu’à la station ‘’Total’’.
Pour cette deuxième journée de bataille, les forces de l’ordre ont cette fois pris les devants. Aucun véhicule n’est parvenu à circuler sur les lieux des affrontements. De rudes affrontements ont ainsi opposé les populations aux services de l’ordre qui, aux jets de pierres, ripostaient par des grenades lacrymogènes, obligeant certains jeunes de Ouakam qui avaient brûlé des pneus, à reculer et d’autres à prendre la fuite.
Les affrontements de ce mercredi ont aussi des effets négatifs dans le secteur de la santé et de l’éducation. Les hôpitaux situés non loin des affrontements étaient obligés de fermer les portes pour éviter toute incursion quand on sait qu’il y a des malades à l’intérieur.
Des élèves n’ont pu poursuivre leurs cours tranquillement.
La situation est aussi la même au niveau de la station ‘’Total’’ de Ouakam qui a décidé fermer ses portes pour plus de sécurité.
Pour cette deuxième journée de bataille, les forces de l’ordre ont cette fois pris les devants. Aucun véhicule n’est parvenu à circuler sur les lieux des affrontements. De rudes affrontements ont ainsi opposé les populations aux services de l’ordre qui, aux jets de pierres, ripostaient par des grenades lacrymogènes, obligeant certains jeunes de Ouakam qui avaient brûlé des pneus, à reculer et d’autres à prendre la fuite.
Les affrontements de ce mercredi ont aussi des effets négatifs dans le secteur de la santé et de l’éducation. Les hôpitaux situés non loin des affrontements étaient obligés de fermer les portes pour éviter toute incursion quand on sait qu’il y a des malades à l’intérieur.
Des élèves n’ont pu poursuivre leurs cours tranquillement.
La situation est aussi la même au niveau de la station ‘’Total’’ de Ouakam qui a décidé fermer ses portes pour plus de sécurité.