Le Collectif de la Société civile pour les élections (Cosce) a décelé 3 violations majeures dans le décret de nomination des membres de la Céna, signé par le président Macky Sall.
«A la lumière de ses dispositions régissant la Céna force est de constater des violations manifestes de la loi. Il s'agit du : Non-respect du principe de consultations des corps constitués ; Choix de personnalités indépendantes, neutres et impartiales ; Non-respect du mandat de six (6) ans et renouvelable par tiers tous les trois (3) ans», indique le Cosce dans son communiqué de presse.
Ainsi, au vu de l'importance de la Céna dans le dispositif électoral et son rôle de garant de l'intégrité, de l'équité et de la crédibilité du processus électoral, «la prise de ce décret est de nature à jeter le discrédit sur une des institutions essentielles en charge des élections», souligne le Cosce.
Pour ramener les choses à l’endroit, il a tenu à lancer «un appel solennel au Président de la République», lui demandant de bien vouloir «retirer ce décret et de le remplacer par un nouveau conforme à nos lois et règlements», puisque, signale-il, «de cette décision dépend substantiellement une élection présidentielle apaisée et inclusive».
Igfm
«A la lumière de ses dispositions régissant la Céna force est de constater des violations manifestes de la loi. Il s'agit du : Non-respect du principe de consultations des corps constitués ; Choix de personnalités indépendantes, neutres et impartiales ; Non-respect du mandat de six (6) ans et renouvelable par tiers tous les trois (3) ans», indique le Cosce dans son communiqué de presse.
Ainsi, au vu de l'importance de la Céna dans le dispositif électoral et son rôle de garant de l'intégrité, de l'équité et de la crédibilité du processus électoral, «la prise de ce décret est de nature à jeter le discrédit sur une des institutions essentielles en charge des élections», souligne le Cosce.
Pour ramener les choses à l’endroit, il a tenu à lancer «un appel solennel au Président de la République», lui demandant de bien vouloir «retirer ce décret et de le remplacer par un nouveau conforme à nos lois et règlements», puisque, signale-il, «de cette décision dépend substantiellement une élection présidentielle apaisée et inclusive».
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