Après la déclaration du Parquet près le Tribunal Militaire de Première Instance Permanent de Conakry, annonçant la mort tragique de l’ancien numéro 2 de la junte, le Barreau de Guinée a exprimé sa profonde préoccupation face à cette situation.
A cet effet, les hommes de droit exigent l’ouverture d’une enquête indépendante pour “déterminer les causes et les circonstances exactes de la mort du Général Sadiba Koulibaly, tout en exigeant d’être associé à cette enquête pour “garantir la transparence et l’impartialité des investigations”.
Par ailleurs, le Barreau “dénonce l’inaction et le silence du procureur militaire près le Tribunal militaire de première instance permanent de Conakry et du Procureur Général près la Cour d’Appel de Conakry face à ces violations graves des droits de l’Homme”.
C’est pourquoi, l’ordre des avocats demande à ces deux procureurs “d’indiquer sans délai à l’opinion nationale et internationale, le lieu où était détenu le Général Sadiba Koulibaly, ainsi que celui où sont détenus les autres militaires et la mise en liberté immédiate de ces derniers, conformément aux dispositions des articles 284 et 546 du Code de procédure pénale”.
Guinée360
A cet effet, les hommes de droit exigent l’ouverture d’une enquête indépendante pour “déterminer les causes et les circonstances exactes de la mort du Général Sadiba Koulibaly, tout en exigeant d’être associé à cette enquête pour “garantir la transparence et l’impartialité des investigations”.
Par ailleurs, le Barreau “dénonce l’inaction et le silence du procureur militaire près le Tribunal militaire de première instance permanent de Conakry et du Procureur Général près la Cour d’Appel de Conakry face à ces violations graves des droits de l’Homme”.
C’est pourquoi, l’ordre des avocats demande à ces deux procureurs “d’indiquer sans délai à l’opinion nationale et internationale, le lieu où était détenu le Général Sadiba Koulibaly, ainsi que celui où sont détenus les autres militaires et la mise en liberté immédiate de ces derniers, conformément aux dispositions des articles 284 et 546 du Code de procédure pénale”.
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