Dans une correspondance, adressée au président de la République du Sénégal, Bassirou Diomaye Faye le 17 juillet 2024, l’Audience des jeunes cadres de l’Union pour la démocratie et le développement (UNDD), à travers les mots de son président Aimé Macaire Ouédraogo, a, depuis Ouagadougou, tenu tout d’abord à saluer son élection à la tête du pays, avant de rappeler la confiance placée en lui par le peuple sénégalais et les espoirs dont il est porteur.
Ainsi que les qualités humaines et politiques qui font de lui un dirigeant capable de relever les défis et lèvent tous les doutes sur son aptitude à tenir ses promesses à l’endroit du peuple sénégalais.
"Excellence Monsieur le président, depuis votre accession au pouvoir, par des voies de légitimations populaires unanimement félicitées, vous n’avez cessé de balayer les craintes premières relatives à votre mandature supposée menacée par l’inexpérience et l’intolérance inscrites dans votre jeune âge. Vous avez Dieu merci, commuté ces appréhensions par l’espoir d’une gouvernance nationale et communautaire, marquée par le dialogue, la solidarité et la réconciliation. Vos déclarations et actes empreints d’humilité, de justice et de responsabilité y seront pour beaucoup", soulignent les jeunes cadres de l’UNDD qui n'ont pas manqué pas de le "féliciter après cent jours d’exercice du pouvoir, pour ce signal d’espérance indispensable aux nécessaires retrouvailles tant dans l’espace Ouest africain, que dans ceux de nos États en butte à l’insécurité multidimensionnelle chronique et aux désarticulations socio-politiques conséquentielles".
Mieux, les jeunes cadres de l’UNDD se réjouissent du choix porté sur lui par ses pairs africains pour conduire une mission de médiation de la CEDEAO auprès de l’AES.
"Nous avons apprécié favorablement les incitations des présidents Nana Akufo-Addo du Ghana et Bola Tinubu du Nigeria , à vous voir nommer comme médiateur dans la crise qui oppose la CEDEAO aux États membres de l’AES. De la même façon, nous nous sommes réjouis après le dernier sommet du dimanche 7 juillet 2024 de l’organisation communautaire tenu à Abuja, de votre nomination effective (corrélativement à celle du président togolais), en tant que facilitateur dans la dite crise.
Les propos que vous avez tenus à ce sujet, à l’occasion de votre rencontre avec la presse lors des cent jours de votre prise de fonction et qui ramollissent certaines ardeurs négatives, nous ont convaincu de la chance que vous représentiez non seulement pour une réconciliation dans la CEDEAO, mais surtout pour des gouvernances responsabilisées dans les organisations régionales et dans les États. Votre approche équitable et non partiale du différend, ainsi que les propositions partant de la réintégration pure à des systèmes de collaboration mais allant jusqu’à privilégier, en cas de consommation de la séparation les obligations liées aux enjeux collectifs régionaux, en ont édifié plus d’un qui n’en avaient que pour une rupture totale ouvrant la voie à une lutte d’influence sans merci avec la CEDEAO", se réjouissent les jeunes cadres de l’UNDD.
Louant son humilité et sa logique langagière, ils se disent convaincus que le président Diomaye Faye recèle toutes les qualités requises pour mener à bien la mission d’intermédiation qui lui a été confiée par l’Organisation sous-régionale.
Aly Saleh
Ainsi que les qualités humaines et politiques qui font de lui un dirigeant capable de relever les défis et lèvent tous les doutes sur son aptitude à tenir ses promesses à l’endroit du peuple sénégalais.
"Excellence Monsieur le président, depuis votre accession au pouvoir, par des voies de légitimations populaires unanimement félicitées, vous n’avez cessé de balayer les craintes premières relatives à votre mandature supposée menacée par l’inexpérience et l’intolérance inscrites dans votre jeune âge. Vous avez Dieu merci, commuté ces appréhensions par l’espoir d’une gouvernance nationale et communautaire, marquée par le dialogue, la solidarité et la réconciliation. Vos déclarations et actes empreints d’humilité, de justice et de responsabilité y seront pour beaucoup", soulignent les jeunes cadres de l’UNDD qui n'ont pas manqué pas de le "féliciter après cent jours d’exercice du pouvoir, pour ce signal d’espérance indispensable aux nécessaires retrouvailles tant dans l’espace Ouest africain, que dans ceux de nos États en butte à l’insécurité multidimensionnelle chronique et aux désarticulations socio-politiques conséquentielles".
Mieux, les jeunes cadres de l’UNDD se réjouissent du choix porté sur lui par ses pairs africains pour conduire une mission de médiation de la CEDEAO auprès de l’AES.
"Nous avons apprécié favorablement les incitations des présidents Nana Akufo-Addo du Ghana et Bola Tinubu du Nigeria , à vous voir nommer comme médiateur dans la crise qui oppose la CEDEAO aux États membres de l’AES. De la même façon, nous nous sommes réjouis après le dernier sommet du dimanche 7 juillet 2024 de l’organisation communautaire tenu à Abuja, de votre nomination effective (corrélativement à celle du président togolais), en tant que facilitateur dans la dite crise.
Les propos que vous avez tenus à ce sujet, à l’occasion de votre rencontre avec la presse lors des cent jours de votre prise de fonction et qui ramollissent certaines ardeurs négatives, nous ont convaincu de la chance que vous représentiez non seulement pour une réconciliation dans la CEDEAO, mais surtout pour des gouvernances responsabilisées dans les organisations régionales et dans les États. Votre approche équitable et non partiale du différend, ainsi que les propositions partant de la réintégration pure à des systèmes de collaboration mais allant jusqu’à privilégier, en cas de consommation de la séparation les obligations liées aux enjeux collectifs régionaux, en ont édifié plus d’un qui n’en avaient que pour une rupture totale ouvrant la voie à une lutte d’influence sans merci avec la CEDEAO", se réjouissent les jeunes cadres de l’UNDD.
Louant son humilité et sa logique langagière, ils se disent convaincus que le président Diomaye Faye recèle toutes les qualités requises pour mener à bien la mission d’intermédiation qui lui a été confiée par l’Organisation sous-régionale.
Aly Saleh