Me Souleymane Ndéné Ndiaye : “Le PSE est un plagiat d’un document de l’ancien régime”
Ancien Premier ministre, l’avocat Souleymane Ndéné Ndiaye et leader du parti de l’Union nationale pour le peuple (Unp) a critiqué encore une fois le Plan Sénégal Émergent (PSE), fil conducteur du régime actuel. Pour le dernier premier ministre du Président Wade, le Pse est un plagiat du document stratégique qui a été conçu en juin 2011, “Etude prospective Sénégal 2035”.
Invité du grand Jury de la Rfm, ce dimanhe, Me Souleymane Ndéné Ndiaye estime que “le PSE est un plagiat”. “Il y’a un document stratégique qui a été conçu en juin 2011, étude prospective Sénégal 2035 donc, le PSE est une copie conforme de ce document. C’est un document qui compte 187 pages qui a été réalisé par le ministère de l’économie et des finances en juin 2011“, précise l’ex-premier ministre.
Pour lui, “le PSE n’apporte rien de nouveau. Depuis que le temps qu’on parle d’émergence, je ne crois pas que le Sénégalais moyen sente cette émergence là, dans sa poche”.
Donc selon lui, le fait qu’une structure étrangère, le Cabinet McKinsey, en ait été son maître d’œuvre moyennant une contrepartie financière non négligeable payée par l’Etat du Sénégal est un gâchis.
“On a pas besoin de cabinet pour mettre en musique les idées à partir desquelles le Président avait convaincus les gens de voter pour lui. Il faut sortir du cadre du slogan et travailler pour améliorer les conditions de vie des Sénégalais”, conclut le potentiel candidat à la présidentielle de 2019.
senego
Invité du grand Jury de la Rfm, ce dimanhe, Me Souleymane Ndéné Ndiaye estime que “le PSE est un plagiat”. “Il y’a un document stratégique qui a été conçu en juin 2011, étude prospective Sénégal 2035 donc, le PSE est une copie conforme de ce document. C’est un document qui compte 187 pages qui a été réalisé par le ministère de l’économie et des finances en juin 2011“, précise l’ex-premier ministre.
Pour lui, “le PSE n’apporte rien de nouveau. Depuis que le temps qu’on parle d’émergence, je ne crois pas que le Sénégalais moyen sente cette émergence là, dans sa poche”.
Donc selon lui, le fait qu’une structure étrangère, le Cabinet McKinsey, en ait été son maître d’œuvre moyennant une contrepartie financière non négligeable payée par l’Etat du Sénégal est un gâchis.
“On a pas besoin de cabinet pour mettre en musique les idées à partir desquelles le Président avait convaincus les gens de voter pour lui. Il faut sortir du cadre du slogan et travailler pour améliorer les conditions de vie des Sénégalais”, conclut le potentiel candidat à la présidentielle de 2019.
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