De nouveaux combats ont opposé dimanche matin l'armée malienne et des groupes armés à Bamba (nord), localité dont les rebelles séparatistes ont revendiqué avoir pris le contrôle.
L'armée malienne a rapporté sur les réseaux sociaux des "combats intenses" contre des "terroristes" aux premières heures du jour.
Les rebelles ont indiqué sur les réseaux sociaux avoir pris le contrôle de la localité, dans un message publié au nom du Cadre stratégique permanent, une structure de facto dominée par la Coordination des mouvements de l'Azawad (CMA), alliance de groupes séparatistes à dominante touareg.
Les deux camps n'ont pas fourni plus d'éléments.
Cette confrontation est la dernière en date d'une série d'attaques qui se succèdent contre l'armée malienne et qui ont tué un nombre indéterminé de soldats. L'armée avait déjà été visée le 7 septembre à Bamba par une opération revendiquée par le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM ou JNIM selon l'acronyme arabe), affilié à Al-Qaïda.
Le nord du Mali est le théâtre depuis fin août d'une reprise des hostilités de la part de la CMA et d'une intensification des attaques jihadistes.
Ce regain coïncide avec le retrait en cours de la mission de l'ONU, poussée vers la sortie par la junte au pouvoir depuis 2020.
Cette recrudescence se juxtapose aux violences toujours en cours dans le centre et à l'expansion jihadiste au nord et à l'est.
dakaractu
L'armée malienne a rapporté sur les réseaux sociaux des "combats intenses" contre des "terroristes" aux premières heures du jour.
Les rebelles ont indiqué sur les réseaux sociaux avoir pris le contrôle de la localité, dans un message publié au nom du Cadre stratégique permanent, une structure de facto dominée par la Coordination des mouvements de l'Azawad (CMA), alliance de groupes séparatistes à dominante touareg.
Les deux camps n'ont pas fourni plus d'éléments.
Cette confrontation est la dernière en date d'une série d'attaques qui se succèdent contre l'armée malienne et qui ont tué un nombre indéterminé de soldats. L'armée avait déjà été visée le 7 septembre à Bamba par une opération revendiquée par le Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans (GSIM ou JNIM selon l'acronyme arabe), affilié à Al-Qaïda.
Le nord du Mali est le théâtre depuis fin août d'une reprise des hostilités de la part de la CMA et d'une intensification des attaques jihadistes.
Ce regain coïncide avec le retrait en cours de la mission de l'ONU, poussée vers la sortie par la junte au pouvoir depuis 2020.
Cette recrudescence se juxtapose aux violences toujours en cours dans le centre et à l'expansion jihadiste au nord et à l'est.
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