Le pavé balancé par le rapport du Bureau de lutte contre le terrorisme et l’extrémisme violent du département d'état américain continue de faire des dégâts dans l'establishment des services de sécurité Sénégalais. Soulevant les failles concernant le manque de capacité à détecter, dissuader et prévenir les actes de terrorismes de la gendarmerie nationale, la police nationale, les douanes et les organisations nationales de renseignements,les yankees qui étaient adulés,appelés chaque fois que de besoin pour aider sont en passe d’être accusés de crime de lèse majesté.L'émotion avec laquelle ces critiques sont accueillis prouvent au besoin que la frilosité est la chose la plus partagée par nos dirigeants.
Selon un ancien officier en service à Rondon, avec lequel dakarposte.com s'est entretenu, le véritable drame dans cette lutte contre le terrorisme,ce ne sont pas les services de renseignements et de lutte contre ce fléau qui rythment la cadence mais le Président de la République "himself". Et de nous préciser que dans le cadre de cette lutte,l'Etat se doit de mettre les vrais hommes à leurs vraies places car le renseignement comme la diplomatie ont horreur du tapage.Et ce qui se fait de mieux actuellement sous nos cieux peut être comparé à du tapage médiatique.Cet officier devenu consultant pour de grands groupes occidentaux enfonce le clou en approuvant le rapport du département d'Etat Yankee qui devrait nous permettre de nous remettre en cause au lieu de tirer sur le travail de ces alliés. Les failles et les déficits de coordinations décelés entre les différents systèmes de sécurité du Sénégal ne sont que l'arbre qui cachent la foret fulmine notre source qui rappelle aux autorités que la lutte anti-terroriste est multidimensionnelle et pas uniquement militaire. "Elle nécessite donc de gros moyens financiers, matériels, technologiques et humains (formation),œuvrer pour une approche participative de la lutte anti-terroriste souhaitable et surtout préparer les hommes à une surveillance permanente et une stratégie cohérente" fait-il savoir.
Revenant sur la formation,notre source apprécierait la non politisation de ce combat avec la multitude de séminaires et autres réunions qui ne participent pas à une vraie prise en charge des hommes de l'ombre qui sont en fait les vrais piliers du renseignement.La technicité et l'électronique qu'on semble vouloir imposer ont été les principales causes de la faille des grands services dans le monde et le Sénégal ne doit pas tomber dans ces travers du tout informatique. "Nos meilleurs succès l'ont été en travaillant sur le Human Intelligence,il faudra éviter tout délaissement au profit des nouveautés" conclut-il.
Selon un ancien officier en service à Rondon, avec lequel dakarposte.com s'est entretenu, le véritable drame dans cette lutte contre le terrorisme,ce ne sont pas les services de renseignements et de lutte contre ce fléau qui rythment la cadence mais le Président de la République "himself". Et de nous préciser que dans le cadre de cette lutte,l'Etat se doit de mettre les vrais hommes à leurs vraies places car le renseignement comme la diplomatie ont horreur du tapage.Et ce qui se fait de mieux actuellement sous nos cieux peut être comparé à du tapage médiatique.Cet officier devenu consultant pour de grands groupes occidentaux enfonce le clou en approuvant le rapport du département d'Etat Yankee qui devrait nous permettre de nous remettre en cause au lieu de tirer sur le travail de ces alliés. Les failles et les déficits de coordinations décelés entre les différents systèmes de sécurité du Sénégal ne sont que l'arbre qui cachent la foret fulmine notre source qui rappelle aux autorités que la lutte anti-terroriste est multidimensionnelle et pas uniquement militaire. "Elle nécessite donc de gros moyens financiers, matériels, technologiques et humains (formation),œuvrer pour une approche participative de la lutte anti-terroriste souhaitable et surtout préparer les hommes à une surveillance permanente et une stratégie cohérente" fait-il savoir.
Revenant sur la formation,notre source apprécierait la non politisation de ce combat avec la multitude de séminaires et autres réunions qui ne participent pas à une vraie prise en charge des hommes de l'ombre qui sont en fait les vrais piliers du renseignement.La technicité et l'électronique qu'on semble vouloir imposer ont été les principales causes de la faille des grands services dans le monde et le Sénégal ne doit pas tomber dans ces travers du tout informatique. "Nos meilleurs succès l'ont été en travaillant sur le Human Intelligence,il faudra éviter tout délaissement au profit des nouveautés" conclut-il.