Le limogeage du General Babacar Gaye chef de la mission des Nations Unies en République Centrafricaine (MINUSCA) par le Secrétaire General de l’Organisation des Nations Unies serait interprété par beaucoup d’observateurs et spécialistes du fonctionnement de l’organisation supra nationale dirigée par le très célèbre et méthodique Ban ki moon comme une première mesure de rétorsion de l’ONU contre le Sénégal qui a osé la défier en refusant de coopérer et de remédier à la détention arbitraire de Karim Wade et enfin de réparer le préjudice subi .
Le Sénégal , après avoir introduit une demande en révision de la décision du groupe de travail onusien , a commis un forcing en faisant examiner le pourvoi en cassation de l’affaire Karim Wade par la cour suprême le 06 aout et en fixant le délibéré au 20 aout prochain sans attendre la suite que donnera le groupe des Nations Unies à sa requête ; les tenants du pouvoir sénégalais se réfugiant derrière le principe de la séparation des pouvoirs auquel ils n’y croient point en réalité.
Une telle démarche du Sénégal serait perçue dans les instances onusiennes comme un défi intolérable du gouvernement de notre pays à l’égard des Nations Unies. De même, l’absence de réaction de l’ONU serait interprétée comme une faiblesse diplomatique et un manque d’autorité que beaucoup d’autres pays n’hésiteraient pas à exploiter. Ce qui pourrait introduire des changements défavorables notables dans les relations internationales notamment entre l’ONU et les états membres de l’Assemblée Générale des Nations Unies pris individuellement.
C’est pourquoi le limogeage de Babacar Gaye constituerait à plus d’un titre le début de la guerre froide entre le Sénégal et les Nations Unies. Ainsi, les observateurs les plus avertis prévoient d’autres mesures de rétorsion prises en douceur à l’endroit de notre pays partout où l’occasion se présenterait dans les instances des Nations Unies pour faire face au camouflet infligé par Macky Sall et son gouvernement à l’instance suprême des nations. Ainsi, le Sénégal pourrait s’attendre prochainement à d’autres revers diplomatiques dans les instances Internationales. Il ne lui sera plus rien toléré .L’ONU n’hésiterait plus à exploiter la moindre faille commise par nos dirigeants.
Tout le monde sait que le général Babacar Gaye est un homme sérieux, rigoureux et travailleur qui s’est toujours acquitté loyalement et avec efficacité de toutes les missions qui lui ont été confiées aussi bien à l’intérieur comme à l’extérieur du Sénégal .L’honorabilité du General Gaye reste encore intacte et il a été félicité après sa démission de son poste de chef de mission par le Secrétaire General des Nations Unies
Il ressortirait des indiscrétions du dossier que le Général n’est mêlé personnellement ni de près ni de loin aux exactions, viols et autres violences qui auraient été commis par des casques bleus en Centrafrique .Le Sénégalais aurait été limogé sur la base de faits dont il n’est ni auteur, ni commanditaire et d’humeurs politiques sur place qui le dépassent. Son pays n’aurait été ni consulté, ni écouté lors de la prise de décision par Ban Ki Moon à cause de la faiblesse du poids diplomatique du Sénégal dans l’espace mondiale depuis trois (3) ans. Ce qui prouverait s’il en était encore besoin que c’est le Sénégal qui serait visé à la place de l’homme le General Babacar Gaye chef de la MINUSCA.En tout état de cause, ce limogeage affaiblit diplomatiquement notre pays.
Il est désormais conseillé à tous les Sénégalais qui occupent des postes de haut rang dans les instances des Nations Unis d’être prudents dans le traitement de leurs dossiers car le bras de fer entre le Sénégal et le Système des Nations Unies aurait déjà commencé au moment où la diplomatie Sénégalaise est en perte de vitesse constamment aussi bien sur le plan régional que sur le plan international depuis l’avènement de Macky Sall au pouvoir le 25 mars 2012. Le Sénégal est de moins en moins consulté sur les grands dossiers qui intéressent le monde en général et l’Afrique en particulier depuis la départ du Président Abdoulaye Wade du pouvoir .
Le Sénégal , après avoir introduit une demande en révision de la décision du groupe de travail onusien , a commis un forcing en faisant examiner le pourvoi en cassation de l’affaire Karim Wade par la cour suprême le 06 aout et en fixant le délibéré au 20 aout prochain sans attendre la suite que donnera le groupe des Nations Unies à sa requête ; les tenants du pouvoir sénégalais se réfugiant derrière le principe de la séparation des pouvoirs auquel ils n’y croient point en réalité.
Une telle démarche du Sénégal serait perçue dans les instances onusiennes comme un défi intolérable du gouvernement de notre pays à l’égard des Nations Unies. De même, l’absence de réaction de l’ONU serait interprétée comme une faiblesse diplomatique et un manque d’autorité que beaucoup d’autres pays n’hésiteraient pas à exploiter. Ce qui pourrait introduire des changements défavorables notables dans les relations internationales notamment entre l’ONU et les états membres de l’Assemblée Générale des Nations Unies pris individuellement.
C’est pourquoi le limogeage de Babacar Gaye constituerait à plus d’un titre le début de la guerre froide entre le Sénégal et les Nations Unies. Ainsi, les observateurs les plus avertis prévoient d’autres mesures de rétorsion prises en douceur à l’endroit de notre pays partout où l’occasion se présenterait dans les instances des Nations Unies pour faire face au camouflet infligé par Macky Sall et son gouvernement à l’instance suprême des nations. Ainsi, le Sénégal pourrait s’attendre prochainement à d’autres revers diplomatiques dans les instances Internationales. Il ne lui sera plus rien toléré .L’ONU n’hésiterait plus à exploiter la moindre faille commise par nos dirigeants.
Tout le monde sait que le général Babacar Gaye est un homme sérieux, rigoureux et travailleur qui s’est toujours acquitté loyalement et avec efficacité de toutes les missions qui lui ont été confiées aussi bien à l’intérieur comme à l’extérieur du Sénégal .L’honorabilité du General Gaye reste encore intacte et il a été félicité après sa démission de son poste de chef de mission par le Secrétaire General des Nations Unies
Il ressortirait des indiscrétions du dossier que le Général n’est mêlé personnellement ni de près ni de loin aux exactions, viols et autres violences qui auraient été commis par des casques bleus en Centrafrique .Le Sénégalais aurait été limogé sur la base de faits dont il n’est ni auteur, ni commanditaire et d’humeurs politiques sur place qui le dépassent. Son pays n’aurait été ni consulté, ni écouté lors de la prise de décision par Ban Ki Moon à cause de la faiblesse du poids diplomatique du Sénégal dans l’espace mondiale depuis trois (3) ans. Ce qui prouverait s’il en était encore besoin que c’est le Sénégal qui serait visé à la place de l’homme le General Babacar Gaye chef de la MINUSCA.En tout état de cause, ce limogeage affaiblit diplomatiquement notre pays.
Il est désormais conseillé à tous les Sénégalais qui occupent des postes de haut rang dans les instances des Nations Unis d’être prudents dans le traitement de leurs dossiers car le bras de fer entre le Sénégal et le Système des Nations Unies aurait déjà commencé au moment où la diplomatie Sénégalaise est en perte de vitesse constamment aussi bien sur le plan régional que sur le plan international depuis l’avènement de Macky Sall au pouvoir le 25 mars 2012. Le Sénégal est de moins en moins consulté sur les grands dossiers qui intéressent le monde en général et l’Afrique en particulier depuis la départ du Président Abdoulaye Wade du pouvoir .