Connu pour sa position intransigeante, radicale envers la communauté gay, Mame Mactar Guèye de l'Ong Jamra a fait de terribles révélations sur Rfm. Invité par l'animateur Mamadou Ndoye Bane, le frère à feu Latif Guèye dira qu'un grand patron de presse de la place a été un acteur clef, une des pièces maitresses d'un gay pride qui devait s'organiser à Dakar. Informé dira t'il, à travers des fax, mails et autres canaux, il a saisi le ministre de l'Intérieur d'alors (le général Mamadou Niang). C'est ce dernier, qui a alors envoyé une série de mise en garde aux réceptifs hôteliers aux fins de ne pas recevoir ses gays qui devaient venir des quatre coins du globe.
Y allant de plus belle dans ses révélations, Mame Mactar Guèye renchérit qu'il aurait eu vent qu'un coup de pouce aurait été donné à ces 11 gays récemment alpagués à Kaolack.
Il lui revient qu'on cherche des visas pour ces adeptes de relations contre nature.
Qui cherche à tendre la perche à ces gays? Mystère et boule de gomme! Du moins, pour le moment. Dakarposte, fidèle à sa ligne de média d'investigations, vous édifiera sur ces manoeuvres souterraines. Promis, juré!
Cela dit, pour la gouverne de ceux qui l'ignorent encore, une gay pride ou "Marche des fiertés" lesbienne gay bi et trans, existe depuis une vingtaine d’années en France, à Paris mais aussi dans plusieurs villes.
Gays, lesbiennes, bisexuels et soutiens à leur causes défilent, comme dans les rues de nombreuses villes du monde entier, afin de revendiquer leurs droits. Un cortège coloré qui vise à interpeller notamment les médias. Rome, Athènes, San Francisco… de nombreux pays ont leur défilé, toujours organisés entre la fin du printemps et le début de l’été.
A titre illustratif, l'année dernière, à Paris, le cortège de chars s’est élancé de la gare Montparnasse en direction de la place de la Bastille (voir le parcours intégral par ici).
Et, c'est une marche, largement autofinancée grâce aux dons des participants.
Lancée initialement à New York, en 1970, pour commémorer les émeutes de l’année précédente dans les bars gays de Greenwich village, après des descentes policières, la Gay Pride a toujours revêtu un aspect politique. En France, on trouve une première manifestation homosexuelle indépendante en juin 1977, en réaction à des propos homophobes, puis en 1981, pour appeler les candidats à l’élection présidentielle à dépénaliser l’homosexualité.
Y allant de plus belle dans ses révélations, Mame Mactar Guèye renchérit qu'il aurait eu vent qu'un coup de pouce aurait été donné à ces 11 gays récemment alpagués à Kaolack.
Il lui revient qu'on cherche des visas pour ces adeptes de relations contre nature.
Qui cherche à tendre la perche à ces gays? Mystère et boule de gomme! Du moins, pour le moment. Dakarposte, fidèle à sa ligne de média d'investigations, vous édifiera sur ces manoeuvres souterraines. Promis, juré!
Cela dit, pour la gouverne de ceux qui l'ignorent encore, une gay pride ou "Marche des fiertés" lesbienne gay bi et trans, existe depuis une vingtaine d’années en France, à Paris mais aussi dans plusieurs villes.
Gays, lesbiennes, bisexuels et soutiens à leur causes défilent, comme dans les rues de nombreuses villes du monde entier, afin de revendiquer leurs droits. Un cortège coloré qui vise à interpeller notamment les médias. Rome, Athènes, San Francisco… de nombreux pays ont leur défilé, toujours organisés entre la fin du printemps et le début de l’été.
A titre illustratif, l'année dernière, à Paris, le cortège de chars s’est élancé de la gare Montparnasse en direction de la place de la Bastille (voir le parcours intégral par ici).
Et, c'est une marche, largement autofinancée grâce aux dons des participants.
Lancée initialement à New York, en 1970, pour commémorer les émeutes de l’année précédente dans les bars gays de Greenwich village, après des descentes policières, la Gay Pride a toujours revêtu un aspect politique. En France, on trouve une première manifestation homosexuelle indépendante en juin 1977, en réaction à des propos homophobes, puis en 1981, pour appeler les candidats à l’élection présidentielle à dépénaliser l’homosexualité.