Que cache cette subite décision d'autoriser les investisseurs étrangers à poursuivre leurs travaux arrêtés sur la corniche?
Cette interdiction qui avait été accueillie avec bonheur par les populations et les différentes associations impliquées dans le combat pour la préservation du littoral va sans doute les replonger dans les travers d'une confiscation programmée.
C'est ainsi que des supposées pressions de la BAD et la BOAD principaux bailleurs des promoteurs hôteliers ont fini "d'obliger" le Président de la République à donner une suite favorable pour la reprise des travaux sous l'autorisation du Premier Ministre.
Mais, que cache cette permission sélective quand on sait que sur cette même corniche, des nationaux y ont fait des investissements colossaux avec l'aide d'institutions bancaires?
Où se trouve la préférence nationale quand des étrangers peuvent bénéficier d'avantages au moment où des patriotes sont obligés de se soumettre au diktat des politiciens?
Dans cette mesure sélective, il revient à dakarposte.com que l'état vise en particulier l'ancien Premier Ministre Abdoul Mbaye devenu entretemps un opposant farouche du régime en place. Car, ce dernier propriétaire de près de 4000 mètres carrés sur la corniche est en train d'ériger un complexe immobilier de plusieurs milliards dont la presque totalité des appartements a déjà été acquise par certains chefs d'état et ministres africains (voir image postée)
Loin de défendre l'ancien Pm, pas tout exempt de reproches, force est de reconnaitre que la mesure dessert nombre de "goorgoorlu". Autrement dit, bloquer les travaux du Président de l'ACT (Abdoul Mbaye) sur la corniche alors que la réception du complexe était prévue pour début 2017,privant du coup certains nationaux de pouvoir entamer ou poursuivre leurs travaux tout en autorisant des étrangers semble être une farce de mauvais goût surtout que ce complexe employait plus d'une centaines d'employés.
Cette interdiction qui avait été accueillie avec bonheur par les populations et les différentes associations impliquées dans le combat pour la préservation du littoral va sans doute les replonger dans les travers d'une confiscation programmée.
C'est ainsi que des supposées pressions de la BAD et la BOAD principaux bailleurs des promoteurs hôteliers ont fini "d'obliger" le Président de la République à donner une suite favorable pour la reprise des travaux sous l'autorisation du Premier Ministre.
Mais, que cache cette permission sélective quand on sait que sur cette même corniche, des nationaux y ont fait des investissements colossaux avec l'aide d'institutions bancaires?
Où se trouve la préférence nationale quand des étrangers peuvent bénéficier d'avantages au moment où des patriotes sont obligés de se soumettre au diktat des politiciens?
Dans cette mesure sélective, il revient à dakarposte.com que l'état vise en particulier l'ancien Premier Ministre Abdoul Mbaye devenu entretemps un opposant farouche du régime en place. Car, ce dernier propriétaire de près de 4000 mètres carrés sur la corniche est en train d'ériger un complexe immobilier de plusieurs milliards dont la presque totalité des appartements a déjà été acquise par certains chefs d'état et ministres africains (voir image postée)
Loin de défendre l'ancien Pm, pas tout exempt de reproches, force est de reconnaitre que la mesure dessert nombre de "goorgoorlu". Autrement dit, bloquer les travaux du Président de l'ACT (Abdoul Mbaye) sur la corniche alors que la réception du complexe était prévue pour début 2017,privant du coup certains nationaux de pouvoir entamer ou poursuivre leurs travaux tout en autorisant des étrangers semble être une farce de mauvais goût surtout que ce complexe employait plus d'une centaines d'employés.