Très mal en point, Cheikh Oumar Foutiyou Diba a été victime d’un acte abominable qui aurait pu tout simplement lui coûter la vie. Surpris dans son sommeil et brûlé au troisième degré par trois individus qu’il a été en mesure d’identifier, dans la nuit du samedi 12 septembre alors qu’il dormait sur un trottoir à Santa Maria qui est la capitale de Rio Grande dans le sud du Brésil, c’est un miracle de voir le jeune sénégalais encore vivant.
Actuellement, le marchand ambulant âgé de 25 ans reçoit des soins d’un groupe de bénévoles qui a été touché par son agression. Selon la police militaire, les trois hommes qui ont mis le feu au matelas sur lequel il dormait ont pris les bijoux et objets qu’il vendait, ainsi que ses R$ 500 Brésiliens (environ 125 mille francs CFA) et la paire de trainings qu’il portait. Malgré son état critique nous informe « L’Observateur » qui livre l’information, le bonhomme a signalé son agression aux employés d’une boulangerie située non loin de la scène d’horreur. « Il a affirmé que trois de ses amis, des Brésiliens, avaient mis le feu parce qu’ils voulaient de la cigarette alors qu’il n’en avait pas. Par vengeance, ils ont aspergé son matelas d’alcool avant d’y mettre le feu. Ils ont ensuite volé sa marchandise avant de prendre la fuite » a témoigné Lidiane Silveira, employée de la boulangerie. Le SAMU ayant déclaré ne pas répondre à ce « type d’événements sans gravités », Lidiane déclare : « Au téléphone, ils m’ont demandé s’il pouvait aller à pied au poste de santé. Car, pour ce type de cas, ils ne peuvent pas envoyer d’ambulance ». L’autre option, qui était d’appeler la police militaire, s’est avérée être la meilleure. Les agents de cette dernière ont ainsi alerté le service d’incendie des sapeurs-pompiers. Cheikh Oumar a alors été acheminé à l’Unité des soins d’urgence où il a été libéré le même jour.
À la suite de cela, le ressortissant sénégalais a été accueilli dans une auberge par les membres d’une association de droits de l’homme de l’université fédérale de Santa Maria. Selon eux, il a déposé ses baluchons à Santa Maria en début de semaine dernière en provenance de la ville de Sapucaia do sul, dans la région métropolitaine de Porto Alegre. Étranger qu’il est, son dossier a été transféré de la police militaire, qui s’occupe des affaires internes, à la police fédérale, qui enquête sur les crimes et s’emploie dans la recherche des suspects. Reçu par les membres de cette police, l’émigré a soutenu être « couché dans la rue, cette nuit-là, parce qu’il était arrivé en retard à l’auberge municipale où il avait l’habitude de dormir ». Cet établissement, qui accueille des sans-abris, ferme à 20 heures. Au terme de son audition et de communs accords avec le commissaire de la police fédérale, la plainte de Cheikh Oumar Foutiyou a été transmise à la police civile, qui a ouvert une enquête.
Auteur: seneweb
Actuellement, le marchand ambulant âgé de 25 ans reçoit des soins d’un groupe de bénévoles qui a été touché par son agression. Selon la police militaire, les trois hommes qui ont mis le feu au matelas sur lequel il dormait ont pris les bijoux et objets qu’il vendait, ainsi que ses R$ 500 Brésiliens (environ 125 mille francs CFA) et la paire de trainings qu’il portait. Malgré son état critique nous informe « L’Observateur » qui livre l’information, le bonhomme a signalé son agression aux employés d’une boulangerie située non loin de la scène d’horreur. « Il a affirmé que trois de ses amis, des Brésiliens, avaient mis le feu parce qu’ils voulaient de la cigarette alors qu’il n’en avait pas. Par vengeance, ils ont aspergé son matelas d’alcool avant d’y mettre le feu. Ils ont ensuite volé sa marchandise avant de prendre la fuite » a témoigné Lidiane Silveira, employée de la boulangerie. Le SAMU ayant déclaré ne pas répondre à ce « type d’événements sans gravités », Lidiane déclare : « Au téléphone, ils m’ont demandé s’il pouvait aller à pied au poste de santé. Car, pour ce type de cas, ils ne peuvent pas envoyer d’ambulance ». L’autre option, qui était d’appeler la police militaire, s’est avérée être la meilleure. Les agents de cette dernière ont ainsi alerté le service d’incendie des sapeurs-pompiers. Cheikh Oumar a alors été acheminé à l’Unité des soins d’urgence où il a été libéré le même jour.
À la suite de cela, le ressortissant sénégalais a été accueilli dans une auberge par les membres d’une association de droits de l’homme de l’université fédérale de Santa Maria. Selon eux, il a déposé ses baluchons à Santa Maria en début de semaine dernière en provenance de la ville de Sapucaia do sul, dans la région métropolitaine de Porto Alegre. Étranger qu’il est, son dossier a été transféré de la police militaire, qui s’occupe des affaires internes, à la police fédérale, qui enquête sur les crimes et s’emploie dans la recherche des suspects. Reçu par les membres de cette police, l’émigré a soutenu être « couché dans la rue, cette nuit-là, parce qu’il était arrivé en retard à l’auberge municipale où il avait l’habitude de dormir ». Cet établissement, qui accueille des sans-abris, ferme à 20 heures. Au terme de son audition et de communs accords avec le commissaire de la police fédérale, la plainte de Cheikh Oumar Foutiyou a été transmise à la police civile, qui a ouvert une enquête.
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