Ce n’est ni une tendance stagnante ni baissière, mais plutôt, haussière qui risque de faire grincer des dents. Ce mardi, il a été noté, la hausse sur le prix au kilogramme de riz. Principalement, le riz indien parfumé 100% brisé.
Selon certains opérateurs joint par téléphone, c’est effectivement une hausse de plus de 50 francs CFA. C’est plusieurs catégories de riz qui ont connu une hausse chez le détaillant, mais le riz parfumé indien est légèrement plus en hausse. « Au moment où je vous parle, il y’a 3000 tonnes que je dois écouler pour quelqu’un. Et je dois vendre le kilo au grossiste, à 390 francs le kilo. Si on apprend que cela a augmenté, c’est parce qu’il y’a un défaut de subvention. Nous rappelons qu’il n’y a plus de taxe sur le riz. Je pense que la solution conjoncturelle, qui est la subvention, ne peut pas perdurer. Il faut une solution structurelle. Cette diminution des denrées de première nécessité ne sera point facile comme les gens le pensent » martèle Alla Dieng, directeur exécutif de Unacois Yessal.
dakaractu
Selon certains opérateurs joint par téléphone, c’est effectivement une hausse de plus de 50 francs CFA. C’est plusieurs catégories de riz qui ont connu une hausse chez le détaillant, mais le riz parfumé indien est légèrement plus en hausse. « Au moment où je vous parle, il y’a 3000 tonnes que je dois écouler pour quelqu’un. Et je dois vendre le kilo au grossiste, à 390 francs le kilo. Si on apprend que cela a augmenté, c’est parce qu’il y’a un défaut de subvention. Nous rappelons qu’il n’y a plus de taxe sur le riz. Je pense que la solution conjoncturelle, qui est la subvention, ne peut pas perdurer. Il faut une solution structurelle. Cette diminution des denrées de première nécessité ne sera point facile comme les gens le pensent » martèle Alla Dieng, directeur exécutif de Unacois Yessal.
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