« Il est important que les relations entre la Guinée et le Sénégal soient renforcées de même que le peuple Guinéen et le peuple Sénégalais se retrouvent. J’ai décidé de faire une visite officielle de 3 jours afin que le monde entier le constate.»
Sur son accueil «Avant-hier j’étais comblé de voir la mobilisation des deux peuples ce qui signifie que les présidents passent et les peuples restent».
Par ailleurs :« je m’en fous que les chefs d’Etats reçoivent mes opposants » renchérit-il. Mieux? il continue sur quelques histoires entre le cas de Me wade opposant à l’époque au président Diouf. Et entre le Président Wade et les militaires au moment de la transition en Guinée.
A l’Union Africaine (U A), Sur la maladie à virus Ebola le Président Guinéen déplore le manque de solidarité (soutien) en cas de problème dans un pays.
Sur le dialogue politique, il déclare: « le document qui a été élaboré et signé par la majorité ensuite par le représentant des Nations-Unis, l’ambassadeur de l’Union-Européenne, celui de la France et le président de la C E D E A O, c’est cela la communauté internationale et quel est le problème ?.
Enfin la question sur l’ethnocentrisme, le locataire du palais sekoutouréya rappelle: « en 1958, trois pays colonies française ont voulu voter ‘’NON ‘’ pour l’acquisition de l’indépendance à savoir, le Sénégal, le Niger et la Guinée. En Guinée, on a voté non! comme un seul et unique homme, mais les ethnies qui y étaient, ce sont celles qui sont toujours là !….et le mariage mixte inter-ethnique, c’est plutôt l’effet des homme politiques».
Dépêche de Khalil Touré, correspondant de Guinéenews à Dakar, Sénégal