Ils sont abandonnés à leur triste sort. Ils, ce sont les 200 pèlerins pour la présente édition du "Hajj" aux lieux saints de l'Islam. Qui, faute de visas, sont restés hagard, abandonnés à eux-meme.
Un tour dans ce hangar et le spectacle est triste et désolant. Ces candidats, qui n'ont pas mangé à midi, somnolent, tenaillés par la faim et la fatigue.
Ils scrutent encore leur sésame: le visa devant leur permettre de décoller pour la Mecque. Pas question disent ils de retourner chez eux. "Nous avons déjà dis au revoir à nos parents et proches; il n'est pas question de retourner chez nous. Quitte à mourir ici" fulmine cette dame, qui ne peut retenir ses larmes.
Sa voisine de rétorquer, "nous n'avons vu aucune autorité". Soudain, un gendarme en faction, qui nous a reconnu de nous demander de : "dégagez!"
Dakarposte, qui suit de près avec ses radars partout, vous promet d'y revenir!
Un tour dans ce hangar et le spectacle est triste et désolant. Ces candidats, qui n'ont pas mangé à midi, somnolent, tenaillés par la faim et la fatigue.
Ils scrutent encore leur sésame: le visa devant leur permettre de décoller pour la Mecque. Pas question disent ils de retourner chez eux. "Nous avons déjà dis au revoir à nos parents et proches; il n'est pas question de retourner chez nous. Quitte à mourir ici" fulmine cette dame, qui ne peut retenir ses larmes.
Sa voisine de rétorquer, "nous n'avons vu aucune autorité". Soudain, un gendarme en faction, qui nous a reconnu de nous demander de : "dégagez!"
Dakarposte, qui suit de près avec ses radars partout, vous promet d'y revenir!