Abdoulaye Pouye, le Maire de Mbao a battu en brèche l’enquête menée sur les femmes de la Banlieue et l’islam radical au Sénégal à l’initiative de l’Observatoire des radicalismes et conflits religieux au Sénégal, dénommé Timbuktu Institute.
Abdoulaye Pouye, le Maire de Mbao a battu en brèche l’enquête menée sur les femmes de la Banlieue et l’islam radical au Sénégal à l’initiative de l’Observatoire des radicalismes et conflits religieux au Sénégal, dénommé Timbuktu Institute, tout en estimant que «l’étude» du Dr Bakary Sambe est «exagérée et pourrait exciter les jeunes de la Banlieue à devenir Djihadiste».
Le maire de Mbao a tiré sur Bakary Sambe qu’il considère presque comme un colporteur de mauvaises nouvelles, pour ne pas dire un oiseau de mauvais augure. «C’est faux. Cette enquête, à mon sens, est exagérée. C’est vrai qu’en Banlieue, il est indéniable qu’il y a le sous-emploi, la pauvreté, la promiscuité, les maladies et j’en passe. Mais aller jusqu’à penser que les femmes de la Banlieue sont prêtes à aller faire du Djihadisme. Je n’ai jamais entendu cela nulle part des pensées et des idées de ce genre. Certes, on entend les jeunes de la Banlieue dire qu’ils veulent aller prendre les pirogues pour rejoindre l’Europe, mais, ça s’arrête là. Mais, devenir Djihadiste, jamais dans les discussions. C’est très exagéré et ce n’est pas bon de mettre de telles idées dans la tête des jeunes. Il faut savoir raison gardée et éviter d’exciter les jeunes à devenir Djihadiste. Il faut être attention dans ce dossier et rester positif dans les idées qu’on véhicule», a longuement critiqué Abdoulaye Pouye, sur les ondes de la RFM.
Une enquête sur l’islam radical au Sénégal, à l’initiative de l’Observatoire des radicalismes et conflits religieux au Sénégal, dénommé Timbuktu Institute, a révélé cette semaine «la prévalence et la latence du radicalisme islamique au Sénégal».
Sur les 4.000 jeunes interrogés, près de 10% dont des femmes, se disent prêts à rejoindre l’islam radical, selon les résultats de cette enquête menée aux Parcelles assainies, à Pikine et à Guédiawaye, dans la Banlieue dakaroise.
D’ailleurs, dans cette même étude, Timbuktu Institut a recommandé par ailleurs la mise en place d’un système éducatif inclusif, pour annihiler «les facteurs de radicalisation chez les jeunes de la grande banlieue dakaroise».
Leral.net
Le maire de Mbao a tiré sur Bakary Sambe qu’il considère presque comme un colporteur de mauvaises nouvelles, pour ne pas dire un oiseau de mauvais augure. «C’est faux. Cette enquête, à mon sens, est exagérée. C’est vrai qu’en Banlieue, il est indéniable qu’il y a le sous-emploi, la pauvreté, la promiscuité, les maladies et j’en passe. Mais aller jusqu’à penser que les femmes de la Banlieue sont prêtes à aller faire du Djihadisme. Je n’ai jamais entendu cela nulle part des pensées et des idées de ce genre. Certes, on entend les jeunes de la Banlieue dire qu’ils veulent aller prendre les pirogues pour rejoindre l’Europe, mais, ça s’arrête là. Mais, devenir Djihadiste, jamais dans les discussions. C’est très exagéré et ce n’est pas bon de mettre de telles idées dans la tête des jeunes. Il faut savoir raison gardée et éviter d’exciter les jeunes à devenir Djihadiste. Il faut être attention dans ce dossier et rester positif dans les idées qu’on véhicule», a longuement critiqué Abdoulaye Pouye, sur les ondes de la RFM.
Une enquête sur l’islam radical au Sénégal, à l’initiative de l’Observatoire des radicalismes et conflits religieux au Sénégal, dénommé Timbuktu Institute, a révélé cette semaine «la prévalence et la latence du radicalisme islamique au Sénégal».
Sur les 4.000 jeunes interrogés, près de 10% dont des femmes, se disent prêts à rejoindre l’islam radical, selon les résultats de cette enquête menée aux Parcelles assainies, à Pikine et à Guédiawaye, dans la Banlieue dakaroise.
D’ailleurs, dans cette même étude, Timbuktu Institut a recommandé par ailleurs la mise en place d’un système éducatif inclusif, pour annihiler «les facteurs de radicalisation chez les jeunes de la grande banlieue dakaroise».
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