Les deux jeunes Maliens inculpés ont peut-être, à un moment, été présentés à tort comme de " petits poissons" dans l’affaire.
En tout cas, une source au cœur de l’enquête révèle que l’un d’eux a non seulement habité, un temps, non loin du domicile d’un des jihadistes, mais qu’il avait envoyé à distance du crédit téléphonique dans le portable de ce jihadiste le jour même de l’attaque de l’hôtel Radisson Blu de Bamako.
Un détail : le jihadiste attendait ce crédit, ces unités, pour communiquer. Ensuite, le second jeune Malien inculpé aurait utilisé le même téléphone que les assaillants.
Par ailleurs, s’exprimant ce week-end devant la presse, le procureur chargé du dossier a donné quelques précisions. Ainsi, on sait désormais que sur les deux assaillants tués, un document aurait été retrouvé. Il s’agit d’une demande de libération de deux islamistes détenus en Mauritanie et au Niger.
Cela voudrait peut-être dire qu’après avoir tué des clients et des travailleurs de l’hôtel Radisson Blu, les assaillants envisageaient peut-être, dans un second temps, de prendre des otages et de poser des conditions pour leur libération.
En tout cas, une source au cœur de l’enquête révèle que l’un d’eux a non seulement habité, un temps, non loin du domicile d’un des jihadistes, mais qu’il avait envoyé à distance du crédit téléphonique dans le portable de ce jihadiste le jour même de l’attaque de l’hôtel Radisson Blu de Bamako.
Un détail : le jihadiste attendait ce crédit, ces unités, pour communiquer. Ensuite, le second jeune Malien inculpé aurait utilisé le même téléphone que les assaillants.
Par ailleurs, s’exprimant ce week-end devant la presse, le procureur chargé du dossier a donné quelques précisions. Ainsi, on sait désormais que sur les deux assaillants tués, un document aurait été retrouvé. Il s’agit d’une demande de libération de deux islamistes détenus en Mauritanie et au Niger.
Cela voudrait peut-être dire qu’après avoir tué des clients et des travailleurs de l’hôtel Radisson Blu, les assaillants envisageaient peut-être, dans un second temps, de prendre des otages et de poser des conditions pour leur libération.