L'Histoire secrète du Dg de l'ARTP, Abdou Karim Sall
S’il est vrai que la performance d’un régime tient largement au choix des hommes, celui d’Abdou Karim SALL par Macky SALL pour diriger la très stratégique ARTP a bien un parfum de providence. A vrai dire, l’homme a le profil de l’emploi, étant entendu qu’il est un pur produit du sérail.
Originaire d’Okodiéré, l’ancien pensionnaire du lycée mixte Maurice Delafosse capitalise à ce jour 18 ans d’expérience dans le domaine des Telecoms, qu’il connaît comme les bouts de ses doigts.
Son statut d’ingénieur des Telecoms acquis avec maestria au milieu des années 90 en Tunisie n’est en vérité que la suite logique d’une passion matinalement nourrie. En effet, confie l’un de ses condisciples, le jeune toucouleur montrait au collège déjà un intérêt sans bornes pour tout ce qui relevait de la communication.
A la fin de sa formation au pays de Ben Ali, l’homme a reçu d’alléchantes propositions auxquelles d’aucuns auraient facilement succombé. Mais M. SALL a farouchement résisté aux sirènes étrangères, plaçant du coup son indécrottable patriotisme au dessus des privilèges égoïstes. Et c’est ainsi que, fort de ce principe plutôt enviable, il revient au pays dans les années 90 pour être aussitôt recruté à la SONATEL. Comme tout le monde pouvait s’y attendre, l’homme ne perd pas de temps pour gravir les échelons. Son habileté avérée à la tâche aidant, il ne tarde pas à se retrouver à la tête de l’agence SONATEL de Rufisque.
Son efficacité exceptionnelle lui ouvre les boulevards d’une promotion fulgurante et il se voit nommer Directeur du FDSUT (Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications) sous le magistère de Macky SALL. C’est de là que le vaillant cadre intègre le Collège des délégués de l’ARTP en 2004 avant de se voir confier les clés de l’institution en mai 2014.
Naguère, des esprits exagérément fouineurs se sont permis de répandre la rumeur selon laquelle la nomination de monsieur Abdou Karim SALL procéderait d’un pur élan népotiste, s’appuyant à cet effet sur l’hypothèse fallacieuse selon laquelle l’enfant d’Orkadiéré serait le frère du Chef de l’Etat. Pour dégonfler cette bulle fantaisiste aux allures accusatoires, Abdou Karim dira que c’est là une vile exploitation de ce qu’on pourrait appeler un « délit de faciès », pour dire qu’il a de forts traits de ressemblance avec le locataire de l’avenue Roume, mais qu’il n’entretient aucun lien de parenté avec lui.
Après avoir passé seulement quelques mois à tête de la haute institution, M. SALL annonce le lancement du processus d’attribution de la 4G, une technologie de pointe de toute dernière génération en matière de télécommunications. Une telle décision de haute portée stratégique était pour ainsi dire le signe de l’ampleur prométhéenne des ambitions que l’homme nourrissait pour le secteur à lui confié. La compétition lancée sous forme d’avis d’appels d’offres met en lice tous les opérateurs susceptibles de supporter les exigences de ladite technologie, avec cependant une faveur manifeste pour ceux déjà présents sur le marché des Télécoms du Sénégal.
Efficacité, rigueur et discrétion sont les principales marques de fabrique de cet homme dont le compagnonnage avec Macky SALL est fondé sur une loyauté inconditionnelle et sans demi-mesure. Son pragmatisme de soldat de la patrie ne lui a jamais fait défaut ; et l’on comprend ainsi aisément pourquoi dès sa nomination à la tête de l’ARTP, il a tenu à se soustraire à une certaine logique de la vaine autoglorification en prononçant les mots que voici : «Je préfère me mettre au travail et parler après ».
L’homme Karim fascine par ailleurs son monde par bien d’autres facettes. Le Sénégal tient en lui un homme de forte conviction qui s’attache aux meilleurs de ses semblables avec la puissance qu’il se détache de ceux qui sont capables de certaines lâchetés. Sans être aucunement rancunier, monsieur SALL est cependant un esprit fortement arrimé à l’idée selon laquelle: « soit tu es avec moi, soit tu n’es pas avec moi ».
Fort heureusement, il sait distinguer la bonne graine de l'ivraie; ceux-là qui se vantent d'être "ami" à lui, alors que dans un passé récent, Abdou Karim était à leurs yeux "un illustre inconnu".
Le goût du luxe, la fanfaronnade, la mégalomanie, la vaine démesure, ne font pas partie de ses tasses de thé. Cela est tellement évident qu’il s’est gardé de rejoindre son logement de fonction en centre ville, une fois nommé à la tête de l’ARTP, préférant garder sa demeure personnelle sise à Mbao. Celui qui a de tout temps défendu son ami et frère Macky, " contre vents et marées", bien avant sa nomination à la tête de l’ARTP, manifeste une égale disponibilité vis-à-vis des populations écrasées par la conjoncture, avec toutefois une légère faveur pour celles-là qui sont les plus proches de son obédience politique.
Cet homme solidement ancré dans ses vertueuses certitudes est en train de réussir moult exploits indiscutables dans la gestion des hautes responsabilités qui lui sont confiées ; et n’en déplaise aux aigris qui s’acharnent toujours à chercher la petite bête sous le feuillage des missions superbement accomplies.
Dg comme on le surnomme à l’ARTP s’impose aujourd’hui comme un " homme qui va" vers les sommets de son projet d’efficacité, à l’image de ce charmant héros de Hugo nommé Hernani.
Edouard
Originaire d’Okodiéré, l’ancien pensionnaire du lycée mixte Maurice Delafosse capitalise à ce jour 18 ans d’expérience dans le domaine des Telecoms, qu’il connaît comme les bouts de ses doigts.
Son statut d’ingénieur des Telecoms acquis avec maestria au milieu des années 90 en Tunisie n’est en vérité que la suite logique d’une passion matinalement nourrie. En effet, confie l’un de ses condisciples, le jeune toucouleur montrait au collège déjà un intérêt sans bornes pour tout ce qui relevait de la communication.
A la fin de sa formation au pays de Ben Ali, l’homme a reçu d’alléchantes propositions auxquelles d’aucuns auraient facilement succombé. Mais M. SALL a farouchement résisté aux sirènes étrangères, plaçant du coup son indécrottable patriotisme au dessus des privilèges égoïstes. Et c’est ainsi que, fort de ce principe plutôt enviable, il revient au pays dans les années 90 pour être aussitôt recruté à la SONATEL. Comme tout le monde pouvait s’y attendre, l’homme ne perd pas de temps pour gravir les échelons. Son habileté avérée à la tâche aidant, il ne tarde pas à se retrouver à la tête de l’agence SONATEL de Rufisque.
Son efficacité exceptionnelle lui ouvre les boulevards d’une promotion fulgurante et il se voit nommer Directeur du FDSUT (Fonds de Développement du Service Universel des Télécommunications) sous le magistère de Macky SALL. C’est de là que le vaillant cadre intègre le Collège des délégués de l’ARTP en 2004 avant de se voir confier les clés de l’institution en mai 2014.
Naguère, des esprits exagérément fouineurs se sont permis de répandre la rumeur selon laquelle la nomination de monsieur Abdou Karim SALL procéderait d’un pur élan népotiste, s’appuyant à cet effet sur l’hypothèse fallacieuse selon laquelle l’enfant d’Orkadiéré serait le frère du Chef de l’Etat. Pour dégonfler cette bulle fantaisiste aux allures accusatoires, Abdou Karim dira que c’est là une vile exploitation de ce qu’on pourrait appeler un « délit de faciès », pour dire qu’il a de forts traits de ressemblance avec le locataire de l’avenue Roume, mais qu’il n’entretient aucun lien de parenté avec lui.
Après avoir passé seulement quelques mois à tête de la haute institution, M. SALL annonce le lancement du processus d’attribution de la 4G, une technologie de pointe de toute dernière génération en matière de télécommunications. Une telle décision de haute portée stratégique était pour ainsi dire le signe de l’ampleur prométhéenne des ambitions que l’homme nourrissait pour le secteur à lui confié. La compétition lancée sous forme d’avis d’appels d’offres met en lice tous les opérateurs susceptibles de supporter les exigences de ladite technologie, avec cependant une faveur manifeste pour ceux déjà présents sur le marché des Télécoms du Sénégal.
Efficacité, rigueur et discrétion sont les principales marques de fabrique de cet homme dont le compagnonnage avec Macky SALL est fondé sur une loyauté inconditionnelle et sans demi-mesure. Son pragmatisme de soldat de la patrie ne lui a jamais fait défaut ; et l’on comprend ainsi aisément pourquoi dès sa nomination à la tête de l’ARTP, il a tenu à se soustraire à une certaine logique de la vaine autoglorification en prononçant les mots que voici : «Je préfère me mettre au travail et parler après ».
L’homme Karim fascine par ailleurs son monde par bien d’autres facettes. Le Sénégal tient en lui un homme de forte conviction qui s’attache aux meilleurs de ses semblables avec la puissance qu’il se détache de ceux qui sont capables de certaines lâchetés. Sans être aucunement rancunier, monsieur SALL est cependant un esprit fortement arrimé à l’idée selon laquelle: « soit tu es avec moi, soit tu n’es pas avec moi ».
Fort heureusement, il sait distinguer la bonne graine de l'ivraie; ceux-là qui se vantent d'être "ami" à lui, alors que dans un passé récent, Abdou Karim était à leurs yeux "un illustre inconnu".
Le goût du luxe, la fanfaronnade, la mégalomanie, la vaine démesure, ne font pas partie de ses tasses de thé. Cela est tellement évident qu’il s’est gardé de rejoindre son logement de fonction en centre ville, une fois nommé à la tête de l’ARTP, préférant garder sa demeure personnelle sise à Mbao. Celui qui a de tout temps défendu son ami et frère Macky, " contre vents et marées", bien avant sa nomination à la tête de l’ARTP, manifeste une égale disponibilité vis-à-vis des populations écrasées par la conjoncture, avec toutefois une légère faveur pour celles-là qui sont les plus proches de son obédience politique.
Cet homme solidement ancré dans ses vertueuses certitudes est en train de réussir moult exploits indiscutables dans la gestion des hautes responsabilités qui lui sont confiées ; et n’en déplaise aux aigris qui s’acharnent toujours à chercher la petite bête sous le feuillage des missions superbement accomplies.
Dg comme on le surnomme à l’ARTP s’impose aujourd’hui comme un " homme qui va" vers les sommets de son projet d’efficacité, à l’image de ce charmant héros de Hugo nommé Hernani.
Edouard
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