L'ancien maire de la commune de Kaffrine, Abdoulaye Wilane a été épinglé pour des manquements dans la gestion organique de la mairie. En effet, selon le rapport de la Cour des comptes rendu public, ce vendredi 10 Mai 2024, entre 2015 et 2018, l'édile de la ville n'a pas respecté la tenue d'une session ordinaire par trimestre. A titre d'exemple, en 2015, une seule session ordinaire a été convoquée, trois en 2016, deux en 2017 contre sept en 2018. Sur ce, la cour a demandé au maire le respect de la fréquence trimestrielle et le nombre des sessions ordinaires du conseil municipal.
La cour a également signalé la pléthore et la léthargie des commissions techniques du Conseil municipal qui étaient au nombre de 20, dont plusieurs d'entre elles sont à vocation sociale.
La modernisation inachevée de la gestion de l'Etat Civil a également fait l'objet de contrôle. La Cour indique dans son rapport, publié ce 10 Mai 2024, que l'Agence de l'informatique de l'Etat, (ADIE) y avait installé en 2016, un logiciel Hera avec un serveur de stockage, devant servir à informatiser les actes. Cela devait permettre de limiter les risques de fraudes, notamment sur les registres de Mariages, de décès avec des volets non renseignés. A titre d'exemple ceux du numéro 3 de 2016, numero 2 des décès de 2017 et le numéro 4 des décès de 2018. Ainsi dans sa recommandation 13, la cour a demandé au maire de veiller à la bonne tenue et à la conservation des registres d'Etat civil suivant un contrôle périodique.
dakarctu
La cour a également signalé la pléthore et la léthargie des commissions techniques du Conseil municipal qui étaient au nombre de 20, dont plusieurs d'entre elles sont à vocation sociale.
La modernisation inachevée de la gestion de l'Etat Civil a également fait l'objet de contrôle. La Cour indique dans son rapport, publié ce 10 Mai 2024, que l'Agence de l'informatique de l'Etat, (ADIE) y avait installé en 2016, un logiciel Hera avec un serveur de stockage, devant servir à informatiser les actes. Cela devait permettre de limiter les risques de fraudes, notamment sur les registres de Mariages, de décès avec des volets non renseignés. A titre d'exemple ceux du numéro 3 de 2016, numero 2 des décès de 2017 et le numéro 4 des décès de 2018. Ainsi dans sa recommandation 13, la cour a demandé au maire de veiller à la bonne tenue et à la conservation des registres d'Etat civil suivant un contrôle périodique.
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