Et l'on reparle de l'affaire Cheikh Mbacké Sakho du nom de celui qui avait tenu des propos blasphématoires contre le mouridismisme. Figurez-vous qu'il a été jugé par défaut aujourd'hui. En clair, personne n'a comparu, ni le prévenu Cheikh Mbacké Sakho ni le conseil du prévenu.
Il nous revient que c'est aux fins de protéger Cheikh Sakho ,qui a failli se faire lyncher par des disciples mouride lors de sa dernière comparution que le tribunal a procédé ainsi, c'est à dire le juger par défaut.
Évoquée en début de matinée, son nom a été appelé à trois reprises mais il n'a pas répondu. L'audience sera alors suspendue pour deux minutes, certainement pour permettre au Président et à ses assesseurs de se concerter.
C'est à leur retour dans la salle que l'affaire est enrôlée. L' absence de comparution ou de représentation du défendeur, n'ayant donc pas permis aux différentes parties du procès de débattre de façon contradictoire et loyale.
N'empêche, le procureur a requis une peine de 6 mois avec sursis et une amende d'un million de nos pauvres cfa rappelant les dispositions de l'article 704 et suivant et 433 du code pénal.
Il nous revient que c'est aux fins de protéger Cheikh Sakho ,qui a failli se faire lyncher par des disciples mouride lors de sa dernière comparution que le tribunal a procédé ainsi, c'est à dire le juger par défaut.
Évoquée en début de matinée, son nom a été appelé à trois reprises mais il n'a pas répondu. L'audience sera alors suspendue pour deux minutes, certainement pour permettre au Président et à ses assesseurs de se concerter.
C'est à leur retour dans la salle que l'affaire est enrôlée. L' absence de comparution ou de représentation du défendeur, n'ayant donc pas permis aux différentes parties du procès de débattre de façon contradictoire et loyale.
N'empêche, le procureur a requis une peine de 6 mois avec sursis et une amende d'un million de nos pauvres cfa rappelant les dispositions de l'article 704 et suivant et 433 du code pénal.