Après deux ans et quatre mois d’emprisonnement, c’est aujourd’hui, 20 août 2015 que Karim Wade sera édifié sur son sort par la Cour suprême.
La juridiction va statuer sur les recours introduits par les conseils du fils de l’ex-président Wade.
Si jamais la Chambre criminelle juge la procédure nulle pour violation des droits de la défense, Karim Wade ainsi que Mamadou Pouye vont recouvrer la liberté.
A défaut ils vont purger les six ans que lui a infligés la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI) le 23 mars 2015.
Toutefois, Karim Wade et ses complices que sont Mamadou Pouye, Ibrahima Aboukhalil dit Bibo et Alioune Samba Diassé pourront se consoler de récupérer une partie de leur bien. Si du moins la Cour suprême suit le parquet général.
Dans son réquisitoire, le substitut Ousmane Diagne avait estimé que la CREI ne pouvait pas ordonner la confiscation de la totalité des biens des prévenus mais le 1/5 seulement.
Le parquetier avait également demandé aux juges de placer sous séquestre les sociétés ayant permis à Karim Wade et Cie de s’enrichir. La CREI les avait placées sous administration provisoire.
La juridiction va statuer sur les recours introduits par les conseils du fils de l’ex-président Wade.
Si jamais la Chambre criminelle juge la procédure nulle pour violation des droits de la défense, Karim Wade ainsi que Mamadou Pouye vont recouvrer la liberté.
A défaut ils vont purger les six ans que lui a infligés la Cour de répression de l’enrichissement illicite (CREI) le 23 mars 2015.
Toutefois, Karim Wade et ses complices que sont Mamadou Pouye, Ibrahima Aboukhalil dit Bibo et Alioune Samba Diassé pourront se consoler de récupérer une partie de leur bien. Si du moins la Cour suprême suit le parquet général.
Dans son réquisitoire, le substitut Ousmane Diagne avait estimé que la CREI ne pouvait pas ordonner la confiscation de la totalité des biens des prévenus mais le 1/5 seulement.
Le parquetier avait également demandé aux juges de placer sous séquestre les sociétés ayant permis à Karim Wade et Cie de s’enrichir. La CREI les avait placées sous administration provisoire.