Sauf renvoi, le député Barthélémy Dias sera jugé en audience spéciale ce mercredi devant le tribunal correctionnel de Dakar. Avec ses 12 co-accusés, il est poursuivi pour coups mortels dans le cadre de l’affaire Ndiaga Diouf, ce lutteur tué lors de l’attaque, en décembre 2011, de la mairie de Mermoz-Sacré Cœur qu’il dirige.
Le dossier a été enrôlé une première fois, le 20 octobre dernier. Mais à l’audience, le Parquet a demandé et obtenu l’ajournement du procès jusqu’à la levée de l’immunité parlementaire du principal mis en cause. Celle-ci obtenue le 11 novembre, le procès a été programmé une deuxième fois le 1er décembre.
Le jour J, seuls trois des 13 accusés sont présents. Il s’agit de Barthélémy Dias, Habib Dieng, Baboucar Faye et Abdoulaye Diène. La Défense demande alors le report afin de mieux s’imprégner du dossier et que les débats se tiennent en audience spéciale, vu l’étroitesse de la salle initialement choisie et le nombre impressionnant d’avocats constitués pour plaider en faveur du maire socialiste de Mermoz-Sacré Cœur.
Le report fut décidé. Mais le juge Ndary Diop avait prévenu les parties : « C'est un renvoi ultime et ferme. Citez qui vous voulez, mais qu'on ne vienne pas me dire qu'on veut citer un tel témoin. »
(Source : Enquête)
Le dossier a été enrôlé une première fois, le 20 octobre dernier. Mais à l’audience, le Parquet a demandé et obtenu l’ajournement du procès jusqu’à la levée de l’immunité parlementaire du principal mis en cause. Celle-ci obtenue le 11 novembre, le procès a été programmé une deuxième fois le 1er décembre.
Le jour J, seuls trois des 13 accusés sont présents. Il s’agit de Barthélémy Dias, Habib Dieng, Baboucar Faye et Abdoulaye Diène. La Défense demande alors le report afin de mieux s’imprégner du dossier et que les débats se tiennent en audience spéciale, vu l’étroitesse de la salle initialement choisie et le nombre impressionnant d’avocats constitués pour plaider en faveur du maire socialiste de Mermoz-Sacré Cœur.
Le report fut décidé. Mais le juge Ndary Diop avait prévenu les parties : « C'est un renvoi ultime et ferme. Citez qui vous voulez, mais qu'on ne vienne pas me dire qu'on veut citer un tel témoin. »
(Source : Enquête)