Et, l'on reparle de ce qu'il est convenu d'appeler "le cas des produits phyto"! Singulièrement pour vous filer la der des ders. En effet, dakarposte, qui a ses radars un peu partout, est en mesure de révéler que cette affaire dont Aïda Ndiongue a été pointée du doigt par Dame Justice comme l'Alpha et l'Oméga, va connaitre ce jeudi un développement et non des moindres.
Eh bien, pour parler comme son mentor, Me Wade, nous tenons de bonnes sources que c'est quasiment toute la Cour qui va se déplacer pour aller constater de visu l'entrepôt de l'ex sénatrice.
En effet, le magistrat instructeur de la 3ème chambre ou des assesseurs, les avocats de la partie civile (entendez par-là de l'Etat), le pool de la défense de l'ex sénatrice, l'Agent Judiciaire de l'Etat et bien évidemment Aïda Ndiongue elle-même se rendront ce jeudi dans l'après-midi dans l'entrepôt. Et, l'on peut dire qu'à l'issue de cet état des lieux, le choses vont enfin s'éclaircir. D'aucuns,notamment des proches de la bonne dame jurent la main sur le coeur qu'Aïda Ndiongue "innocente sur toute la ligne sera enfin totalement blanchie".
Faudrait-il rappeler que le juge a ordonné il y'a de cela quelques jours une descente à l’entrepôt d’Aïda Ndiongue sis à Colobane pour vérifier le matériel restant dans le cadre des produits phytosanitaires du Plan Jaxaay.
En effet, jeudi dernier, Aida Diongue est revenue sur les différentes procédures d’acquisition des marchés qu’elle a gagnés dans le cadre du plan Jaxaay. Seulement, pour le juge, l’ancienne sénatrice avait dissimulé son identité derrière ses entreprises pour gagner des marchés.
Ce qui n’est pas le cas, rétorque Aïda NDiongue qui indique que 2 des 4 entreprises soumissionnaires étaient à son nom. S’agissant des autres entreprises aux noms de certains membres de sa famille, la principale mise en cause s’est présentée comme la caution morale et financière de celles-ci. Les propriétaires de ces entreprises ont déclaré qu’ils lui ont fait une délégation de signature. Par conséquent, indique Mme Ndiongue, ces entreprises ont soumissionné dans la légalité.
Par ailleurs, Mme Ndiongue a exécuté l’intégralité des marchés. Néanmoins, pour le Juge, il reste du matériel qui n’a pas été livré. Ce que confirme la prévenue qui indique que le matériel restant se trouve dans un entrepôt à Colobane parce que l’Etat n’ayant pas de magasin de stockage. Elle a indiqué que ses avocats ont adressé des correspondances à l’agence judiciaire de l’Etat pour procéder à l’enlèvement.
Afin de se faire une religion, le Juge a invité le représentant du parquet général, les avocats et l’agent judiciaire de l’Etat à se rendre ce jeudi 11 février au niveau de l’entrepôt pour vérification.
Affaire à suivre...
Eh bien, pour parler comme son mentor, Me Wade, nous tenons de bonnes sources que c'est quasiment toute la Cour qui va se déplacer pour aller constater de visu l'entrepôt de l'ex sénatrice.
En effet, le magistrat instructeur de la 3ème chambre ou des assesseurs, les avocats de la partie civile (entendez par-là de l'Etat), le pool de la défense de l'ex sénatrice, l'Agent Judiciaire de l'Etat et bien évidemment Aïda Ndiongue elle-même se rendront ce jeudi dans l'après-midi dans l'entrepôt. Et, l'on peut dire qu'à l'issue de cet état des lieux, le choses vont enfin s'éclaircir. D'aucuns,notamment des proches de la bonne dame jurent la main sur le coeur qu'Aïda Ndiongue "innocente sur toute la ligne sera enfin totalement blanchie".
Faudrait-il rappeler que le juge a ordonné il y'a de cela quelques jours une descente à l’entrepôt d’Aïda Ndiongue sis à Colobane pour vérifier le matériel restant dans le cadre des produits phytosanitaires du Plan Jaxaay.
En effet, jeudi dernier, Aida Diongue est revenue sur les différentes procédures d’acquisition des marchés qu’elle a gagnés dans le cadre du plan Jaxaay. Seulement, pour le juge, l’ancienne sénatrice avait dissimulé son identité derrière ses entreprises pour gagner des marchés.
Ce qui n’est pas le cas, rétorque Aïda NDiongue qui indique que 2 des 4 entreprises soumissionnaires étaient à son nom. S’agissant des autres entreprises aux noms de certains membres de sa famille, la principale mise en cause s’est présentée comme la caution morale et financière de celles-ci. Les propriétaires de ces entreprises ont déclaré qu’ils lui ont fait une délégation de signature. Par conséquent, indique Mme Ndiongue, ces entreprises ont soumissionné dans la légalité.
Par ailleurs, Mme Ndiongue a exécuté l’intégralité des marchés. Néanmoins, pour le Juge, il reste du matériel qui n’a pas été livré. Ce que confirme la prévenue qui indique que le matériel restant se trouve dans un entrepôt à Colobane parce que l’Etat n’ayant pas de magasin de stockage. Elle a indiqué que ses avocats ont adressé des correspondances à l’agence judiciaire de l’Etat pour procéder à l’enlèvement.
Afin de se faire une religion, le Juge a invité le représentant du parquet général, les avocats et l’agent judiciaire de l’Etat à se rendre ce jeudi 11 février au niveau de l’entrepôt pour vérification.
Affaire à suivre...